Entreprise – L'oeil du continent https://loeilducontinent.com Au coeur de l’information économique et financière de l’Afrique Thu, 11 Apr 2024 20:12:33 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.5.3 https://loeilducontinent.com/wp-content/uploads/2022/08/cropped-Fichier-1-32x32.png Entreprise – L'oeil du continent https://loeilducontinent.com 32 32 209421051 La réponse numérique de Mungenow technologies et Mungenow stays https://loeilducontinent.com/la-reponse-numerique-de-mungenow-technologies-et-mungenow-stays/ https://loeilducontinent.com/la-reponse-numerique-de-mungenow-technologies-et-mungenow-stays/#respond Thu, 11 Apr 2024 20:04:35 +0000 https://loeilducontinent.com/?p=4208 Le Camerounais Nkombou Aaron Munga, titulaire d’un diplôme supérieur de comptabilité et de commerce se sert du numérique notamment dans les secteurs d’activités de l’hébergement, du tourisme et des finances en Afrique. Il est co-fondateur de l’entreprise « Mungenow Technologies » avec George Enow. Œuvrant dans le B to C, (Business to consumer), la start-up […]

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Le Camerounais Nkombou Aaron Munga, titulaire d’un diplôme supérieur de comptabilité et de commerce se sert du numérique notamment dans les secteurs d’activités de l’hébergement, du tourisme et des finances en Afrique. Il est co-fondateur de l’entreprise « Mungenow Technologies » avec George Enow. Œuvrant dans le B to C, (Business to consumer), la start-up créée par ces deux entrepreneurs en 2019, prend de plus en plus une allure de leader de par les différents services qui s’accroissent au fil du temps et qui répondent à un besoin au sein de l’Afrique.

 

Nkombou Aaron Munga, passionné par les différentes opportunités du digital, ne reste pas en observateur face à la panoplie d’idées qu’il veut mettre en place afi n de matérialiser de façon concrète sa passion et son ambition de rendre service à l’Afrique. C’est dans cet esprit d’innovation permanente qu’il a mis sur pied en août 2022 la plateforme « Mungenow Stays », qui a pour but de faciliter les touristes ou toutes personnes voulant se rendre au Cameroun. « Mungenow Technologies » a pour objectif de développer des services liés aux technologies d’affaires tout en répondant aux besoins locaux et africains.

L’utilisation du numérique a permis à ces entrepreneurs aujourd’hui, de faire des prouesses inédites dans plusieurs domaines à travers l’offre de «Mungenow Technologies ». Plusieurs plateformes numériques ont été mises en place afin de rendre évidents plusieurs services, notamment la plateforme « Mungenow Properties », qui a pour principal atout celui de rendre maximales et effi cientes les différentes démarches liées aux locations ou achat et ventes de propriétés à travers le Cameroun. A côté de cette plateforme, ils ont développé une seconde : « Mungenow Trips », plateforme visant à simplifier l’obtention des documents de voyage à travers le e-Visa.

Enfin « Mungenow Classified », est une plateforme spécialisée dans la diffusion d’annonces classées, ayant pour but de vendre ou/et de distribuer des articles inutilisés ou non désirés. Telles sont les différentes offres de « Mungenow Technologies », qui sont notamment des réponses à différents besoins, soit dans le domaine du tourisme soit des finances en Afrique. Le souci de faciliter le voyage, mais également de promouvoir la destination camerounaise, a conduit Nkombou à lancé officiellement en Août 2022, « Mungenow Stays ». Il s’agit d’une plateforme digitale qui met en lumière les différents sites touristiques à visiter au Cameroun, les différents hôtels et des sites emblématiques du Cameroun.

De plus, la plateforme se charge de la réservation en ligne des chambres d’hôtels dans les grandes villes du Cameroun. Ceci est un atout pour les touristes mais également pour tous ceux qui désirent de visiter le Cameroun. La plateforme offre une panoplie de destinations camerounaises en facilitant ainsi la tâche aux différents voyageurs en leur proposant des sites, des hôtels avec des réservations. L’expérience client est au cœur de son offre, ainsi une garantie est assurée quant aux différents sites.

Le digital est une véritable aubaine et c’est une aventure que suit cet entrepreneur camerounais en proposant une diversité de services visant à réduire le parcours client et en mettant en lumière les richesses de l’Afrique au travers d’une plateforme. La plateforme est une véritable découverte de ces sites fabuleux qu’abrite le Cameroun avec des articles sur certains monuments du pays.

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PME: le Premier ministre sénégalais salue l’engagement de porter à 3000 milliards le volume du financement https://loeilducontinent.com/pme-le-premier-ministre-senegalais-salue-lengagement-de-porter-a-3000-milliards-le-volume-du-financement/ https://loeilducontinent.com/pme-le-premier-ministre-senegalais-salue-lengagement-de-porter-a-3000-milliards-le-volume-du-financement/#respond Fri, 14 Jul 2023 17:04:37 +0000 https://loeilducontinent.com/?p=3940 Le Premier ministre, Amadou Ba, s’est félicité jeudi de l’engagement des acteurs publics et privés de faire passer le volume du financement des petites et moyennes (PME) de ‘’500 milliards de francs CFA en 2023 à 3000 milliards en 2028’’. ‘’Je salue l’engagement patriotique des acteurs publics et privés, déterminés dans le cadre du suivi […]

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Le Premier ministre, Amadou Ba, s’est félicité jeudi de l’engagement des acteurs publics et privés de faire passer le volume du financement des petites et moyennes (PME) de ‘’500 milliards de francs CFA en 2023 à 3000 milliards en 2028’’.

‘’Je salue l’engagement patriotique des acteurs publics et privés, déterminés dans le cadre du suivi intégré et regroupant tous les acteurs autour du dispositif PME de la BCEAO qui partagent l’ambition de faire passer le volume de financement des PME de cinq cents milliards de FCFA en 2023 à trois mille (3000) milliards en 2028’’, a-t-il déclaré, au lancement de la 3e édition du « Forum de la PME sénégalaise », rapporte l’Agence de presse sénégalaise.

‘’L’objectif de la 3e édition du forum de la PME sénégalaise est de construire les conditions de financement massif et sécurisé des PME par le guichet unique d’accès au financement et l’engagement des acteurs de l’écosystème d’accompagnement à travers les concertations nationales du financement’’, a-t-il justifié.

Il a rappelé que la ‘’la 1ère édition du Forum  « invest in Sénégal, » qui s’est tenue à Diamniadio du 6 au 8 juillet 2023, a enregistré des intentions d’investissement de l’ordre de 7 mille milliards de FCFA, soit près de 35% du PIB.

Pour le Premier ministre, ‘’ce chiffre est révélateur de l’attractivité de notre économie (…) et témoigne de la confiance du monde des affaires à la vision du président de la République (…)’’

Il a signalé que ce forum se tient dans un contexte où ‘’le Sénégal a rénové son dispositif juridique et institutionnel en faveur de l’entreprise’’.

‘’Je vous assure de l’engagement total de la BCEAO à poursuivre tout ce qui est en son pouvoir afin d’apporter une réponse adéquate à la problématique de l’accès au financement’’, a pour sa part révélé Joachim Sène, représentant du directeur général de la BCEAO.

M. Sène considère que ‘’régler la question de l’accès des PME aux financements permettrait de développer ces entreprises et en conséquence les économies de nos Etats’’.

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Investissement: la découverte de 70 milliards de tonnes de phosphates en Norvège pourrait représenter une menace pour le Maroc https://loeilducontinent.com/investissement-la-decouverte-de-70-milliards-de-tonnes-de-phosphates-en-norvege-pourrait-representer-une-menace-pour-le-maroc/ https://loeilducontinent.com/investissement-la-decouverte-de-70-milliards-de-tonnes-de-phosphates-en-norvege-pourrait-representer-une-menace-pour-le-maroc/#respond Wed, 05 Jul 2023 14:45:18 +0000 https://loeilducontinent.com/?p=3876 Le Maroc, actuellement deuxième producteur mondial de phosphates, derrière la Chine, a des raisons de s’inquiéter de la découverte en Norvège d’un gisement d’un potentiel estimé à 70 milliards de tonnes. D’après un rapport publié début juillet sur Ecofin Pro, la plateforme de l’agence Ecofin dédiée aux professionnels de plusieurs secteurs, si le potentiel de […]

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Le Maroc, actuellement deuxième producteur mondial de phosphates, derrière la Chine, a des raisons de s’inquiéter de la découverte en Norvège d’un gisement d’un potentiel estimé à 70 milliards de tonnes. D’après un rapport publié début juillet sur Ecofin Pro, la plateforme de l’agence Ecofin dédiée aux professionnels de plusieurs secteurs, si le potentiel de ce projet venait à être concrétisé, l’économie marocaine en serait négativement impactée. Les phosphates sont en effet le principal produit du secteur minier marocain qui a représenté en 2020 plus de 20 % des exportations et environ 10 % du PIB.

1235698 mines

Le Maroc détenait 70% des réserves mondiales de phosphates, jusqu’à ce jour. 

S’il est le dauphin de la Chine dans le classement des plus gros producteurs mondiaux de phosphate avec 38 millions de tonnes produites en 2021, le Maroc est le pays qui hébergeait jusque-là les plus grandes réserves de la matière première utilisée dans les engrais, mais aussi dans les secteurs énergétiques (panneaux solaires) et automobiles (batteries lithium fer phosphates des véhicules électriques). Citant comme source l’USGS, le rapport indique que les réserves marocaines totalisaient 50 milliards de tonnes en 2021, soit plus de 70% des 71 milliards de tonnes de réserves mondiales connues à cette date. Son premier poursuivant héberge à peine 3,2 milliards de tonnes de réserves.

Ainsi, l’arrivée d’un nouveau concurrent avec des capacités de production aussi grandes peut bouleverser la hiérarchie sur le marché et impacter les prix. Le fait que ce concurrent soit européen, ayant libre accès aux différents marchés de l’Union, pourrait également priver le Maroc d’un gros client que représente l’UE. Le royaume chérifien représente 28% des importations de l’Union européenne et est même le premier fournisseur de phosphate de la Zone Euro, loin devant la Russie (16%).

Alors que l’OCP, compagnie détenue par l’Etat et en charge de la production du phosphate, a lancé un programme en décembre 2022 pour augmenter ses capacités, le rapport rédigé par Louis-Nino Kansoun explique que le développement du projet norvégien est un risque à prendre en compte par les dirigeants.

Encore des zones d’ombres et du temps pour réadapter les stratégies

S’il faut pour le Maroc prendre en compte la potentielle menace qui se profile, le rapport indique que le royaume chérifien n’a, à court terme, pas de raisons de s’alarmer. Si plusieurs médias ont comparé les 70 milliards de tonnes aux 71 milliards de tonnes de réserves mondiales connues, l’auteur estime que la prudence doit être de mise dans la manière dont cette déclaration est accueillie. Déjà parce qu’il n’est pas précisé s’il s’agit de ressources ou de réserves, et surtout parce qu’il existe encore des zones d’ombre et un manque de données pour comprendre l’estimation.

Selon l’enquête d’Ecofin Pro, le projet sur lequel travaille Norge Mining est un ensemble de plusieurs gisements dont les plus avancés à l’heure actuelle sont au nombre de 3. Sur le gisement d’Øygrei, la compagnie a déclaré des ressources totales de 1,55 milliard de tonnes pour une valeur in situ de 55 milliards d’euros, lesquelles ressources contiendraient du vanadium, du titane et du phosphate. Le second, dénommé Storeknuten, hébergerait des ressources minérales estimées à près d’un milliard de tonnes. Sur le troisième à Skeipstad, une estimation est attendue.

« Ces chiffres sont très loin des 70 milliards de tonnes évoquées récemment dans les médias », peut-on lire dans le document qui indique que l’explication selon laquelle les géologues « n’ont évalué qu’un tiers du volume, à maximum 1 500 mètres de profondeur, car il est actuellement impossible de forer à des profondeurs de 4 500 mètres », n’apporte pas plus de réponses convaincantes.

Toutefois, même si les ressources ne sont pas confirmées dans les proportions annoncées, il ne fait pas de doute que Norge Mining se trouve sur un gros projet capable de bousculer la hiérarchie mondiale. Il lui faudra néanmoins du temps pour concrétiser ce potentiel, et ce temps, qui pourrait se chiffrer à plusieurs années, devrait servir au Maroc et aux autres pays producteurs sur le continent (la Tunisie, le Sénégal, le Togo, etc.) à réadapter leurs stratégies commerciales.

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Industrialisation durable: la voie du salut pour l’Afrique https://loeilducontinent.com/industrialisation-durable-la-voie-du-salut-pour-lafrique/ https://loeilducontinent.com/industrialisation-durable-la-voie-du-salut-pour-lafrique/#respond Mon, 26 Jun 2023 11:43:50 +0000 https://loeilducontinent.com/?p=3801 Après avoir pris un retard considérable dans la course mondiale à l’industrialisation, le continent africain est désormais en mesure de s’industrialiser sans avoir à copier d’autres modèles, en misant sur la numérisation des modes de production, le déploiement des technologies vertes et l’exploitation du potentiel de la Zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf), selon un […]

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Après avoir pris un retard considérable dans la course mondiale à l’industrialisation, le continent africain est désormais en mesure de s’industrialiser sans avoir à copier d’autres modèles, en misant sur la numérisation des modes de production, le déploiement des technologies vertes et l’exploitation du potentiel de la Zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf), selon un rapport publié le 21 juin par l’Institut Firoz Lalji pour l’Afrique, un centre de recherche hébergé par l’École d’économie et de sciences politiques de Londres.

Intitulé « White paper on sustainable industrialisation in Africa : The art of upgrading industrial policymaking itself », le rapport, repris de lAgence éco fin, indique de prime abord que l’industrialisation représente la voie la plus éprouvée pour atteindre des niveaux de vie élevés et durables, des assiettes fiscales plus larges et des exportations diversifiées.

À partir de la fin du 18è siècle, le Royaume-Uni, la France, l’Allemagne et une multitude d’autres pays européens ont commencé à s’industrialiser. La deuxième vague d’industrialisation a concerné le Japon et les États-Unis, qui ont été ensuite suivis par d’autres pays tels que Singapour, la Corée du Sud, la Thaïlande ou la Chine.

Le dernier groupe de pays émergents qui se sont engagés sur la voie de l’industrialisation comprend la Malaisie, l’Indonésie, le Vietnam, l’Inde, le Brésil, le Chili et le Costa Rica.

Dans la plupart des cas, la politique industrielle était active et intentionnelle, plutôt que laissée aux mains invisibles de l’offre et de la demande.

En Afrique, la transformation structurelle des économies, qui a résulté dans la plupart des cas d’un transfert de ressources du secteur primaire au secteur secondaire, puis au secteur tertiaire, tend cependant à contourner la séquence de l’industrialisation.

Jusqu’à présent, les efforts déployés sur le continent en matière d’industrialisation sont considérés comme infructueux, même si la réalité est plus nuancée et plus complexe.

La part du secteur industriel dans le total des emplois sur le continent a baissé à 11,8% en 2004 contre 12,3% en 1991, avant de remonter légèrement la pente pour s’établir à 13,6 % en 2021.

Des écarts existent également entre les diverses sous-régions du continent. En Afrique du Nord, les emplois dans l’industrie représentaient 26% du total en 2021, soit un niveau proche du seuil du décollage industriel. Viennent ensuite l’Afrique australe (17%), l’Afrique de l’Ouest (13%), l’Afrique centrale (11%) et l’Afrique de l’Est (10%).

Inventer son propre modèle au lieu de copier les autres

Le rapport précise que les faibles niveaux d’industrialisation sur le continent s’expliquent, entre autres, par les effets néfastes des plans d’ajustement structurel (PAS) qui ont encouragé les pays africains à abandonner les leviers de la politique industrielle et à permettre aux marchés libéralisés de tirer parti de leurs avantages comparatifs. Cela a favorisé l’essor de l’extraction minière et pétrolière à forte intensité de capital plutôt que le développement des industries manufacturières à forte intensité de main-d’œuvre.

Alors que l’industrialisation reste l’une des meilleures réponses à l’impérieuse nécessité de créer 12 millions d’emplois par an pour absorber les nouveaux entrants sur le marché du travail, le continent ne pourra plus copier les modèles qui ont déjà fait leurs preuves, dont celui de l’Asie du Sud-est.

Les pays africains sont aujourd’hui confrontés à une plus grande concurrence dans le secteur manufacturier, tant sur les marchés internationaux que nationaux, que d’autres pays ne l’étaient lorsqu’ils se sont engagés sur la voie de l’industrialisation.

D’autre part, les chaînes de valeur mondiales ne sont plus les mêmes qu’au 20è siècle étant donné que les règles du commerce mondial ont changé, évoluant vers plus de restrictions et de régulations.

Le rapport indique cependant que l’Afrique dispose de certains atouts pour s’industrialiser différemment des autres et d’une manière plus durable. Le premier de ces atouts est de profiter de la prise de conscience de l’urgence écologique à l’échelle mondiale pour adopter des modes de production industriels propres et des technologies vertes, en capitalisant sur les abondantes ressources du continent dans le domaine des énergies renouvelables et en maximisant la valeur ajoutée des métaux nécessaires à la transition énergétiques comme le cuivre, le cobalt, ou encore le lithium.

Le continent peut également miser sur la numérisation des processus de production pour augmenter la valeur de l’ensemble de ses matières premières, y compris le pétrole, le gaz, le bois et les produits agricoles.

Le développement des chaînes de valeur régionales est par ailleurs en mesure d’accélérer la transformation industrielle des pays africains. La Zone de libre-échange continentale africaine, qui établira un vaste marché commun de 1,3 milliard de consommateurs, offre une opportunité unique pour promouvoir ces chaînes de valeur régionales. L’Afrique est en effet en train de devenir le premier marché de consommateurs au monde, avec une population qui passera de 1,2 milliard de personnes aujourd’hui à 2,5 milliards en 2050.

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Sénégal: la Banque mondiale aide le secteur privé à mieux comprendre ses règles de passation de marchés publics https://loeilducontinent.com/senegal-la-banque-mondiale-aide-le-secteur-prive-a-mieux-comprendre-ses-regles-de-passation-de-marches-publics/ https://loeilducontinent.com/senegal-la-banque-mondiale-aide-le-secteur-prive-a-mieux-comprendre-ses-regles-de-passation-de-marches-publics/#respond Wed, 21 Jun 2023 07:36:21 +0000 https://loeilducontinent.com/?p=3754 La Banque mondiale a invité la société civile et le secteur privé sénégalais, mardi, à Dakar, à un atelier de sensibilisation destiné à mieux leur faire comprendre les règles de passation des marchés publics qu’elle finance au Sénégal. “Nous avons au Sénégal un portefeuille de plus de 3 milliards de dollars, dont [une partie] passe […]

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La Banque mondiale a invité la société civile et le secteur privé sénégalais, mardi, à Dakar, à un atelier de sensibilisation destiné à mieux leur faire comprendre les règles de passation des marchés publics qu’elle finance au Sénégal.

“Nous avons au Sénégal un portefeuille de plus de 3 milliards de dollars, dont [une partie] passe par les marchés publics. C’est pour cela qu’on a souhaité avoir cet échange avec le secteur privé, afin qu’il puisse disposer de plus d’informations relatives à l’accès à ces marchés publics”, a expliqué Laurent Mehdi Brito, le coordonnateur du service chargé de la passation des marchés au bureau de la Banque mondiale à Dakar.

Le but de l’atelier est de montrer au secteur privé local les opportunités et les erreurs à éviter par les soumissionnaires.

“Nous allons parler au secteur privé et aux organisations de la société civile de la manière dont ils peuvent accéder aux marchés et aux sources d’information”, a dit Laurent Mehdi Brito.

L’atelier sert à présenter aux entreprises sénégalaises les méthodes de présentation des bonnes offres, afin qu’elles puissent gagner des marchés publics avec les critères de la Banque mondiale et les exécuter, a-t-il précisé.

L’institution financière constate qu’il existe au Sénégal beaucoup d’entreprises défaillantes en matière d’exécution des marchés publics, selon M. Brito.

“La phase d’exécution des contrats est très importante. On constate qu’il y a souvent des contrats qui n’arrivent pas à terme ou qui sont exécutés en retard”, a-t-il souligné, ajoutant qu’il y a de grands marchés pour les entreprises, notamment dans les transports, les routes et les infrastructures.

Les entrepreneurs sénégalais accèdent à ces marchés publics en recourant aux consortiums, a rappelé le fonctionnaire de la Banque mondiale.

Selon lui, il existe même de petits marchés publics de l’institution financière internationale auxquels les petites et moyennes entreprises sénégalaises peuvent accéder.

“On voit que les formulaires ne sont pas souvent bien remplis, et les informations sont quelquefois manquantes ou inexactes, ce qui engendre le rejet des offres. C’est pourquoi nous allons passer en revue les mécanismes et identifier les grandes faiblesses” des entreprises locales, a dit Laurent Mehdi Brito.

Les travaux de l’atelier ont également porté sur les marchés de gré à gré.

“Les marchés de gré à gré font partie des méthodes qui existent”, précise l’expert en passation de marchés de la Banque mondiale, ajoutant qu’ils sont “encadrés” par les règles de l’institution financière.

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Sénégal : 131 millions FCFA de l’AFD à la startup Maad pour accélérer sa croissance https://loeilducontinent.com/senegal-131-millions-fcfa-de-lafd-a-la-startup-maad-pour-accelerer-sa-croissance/ https://loeilducontinent.com/senegal-131-millions-fcfa-de-lafd-a-la-startup-maad-pour-accelerer-sa-croissance/#respond Fri, 16 Jun 2023 14:21:22 +0000 https://loeilducontinent.com/?p=3721 La startup sénégalaise Maad, spécialisée dans le service d’approvisionnement aux petits commerçants, bénéficiera de 131,2 millions FCFA (200 000 euros) de Proparco, la filiale du groupe Agence française de développement (Groupe AFD) dédiée au secteur privé, en vue d’accélérer sa croissance. C’est ce qu’a annoncé l’agence ce vendredi 16 mai, rapporte Sikafinance. Maad met à […]

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La startup sénégalaise Maad, spécialisée dans le service d’approvisionnement aux petits commerçants, bénéficiera de 131,2 millions FCFA (200 000 euros) de Proparco, la filiale du groupe Agence française de développement (Groupe AFD) dédiée au secteur privé, en vue d’accélérer sa croissance. C’est ce qu’a annoncé l’agence ce vendredi 16 mai, rapporte Sikafinance.

Maad met à disposition de ses clients, des boutiquiers, une solution digitale innovante de service de livraison rapide de produits de grande consommation à des prix compétitifs, et leur propose des solutions de financement destinées à optimiser leur trésorerie. En outre, la startup facilite un suivi fiable et continue, par les fournisseurs, de leurs ventes de façon à améliorer leur gestion.

Ce financement, conclu en marge du salon VivaTech qui se tient à Paris, intervient à travers l’initiative Digital Africa, une communauté de partenaires issus de plusieurs pays qui soutient les entrepreneurs numériques africains. Dans le cadre du Bridge Fund mis en œuvre par cette communauté, Proparco veut contribuer au déploiement de la solution de Maad au Sénégal, à son expansion dans d’autres pays d’Afrique francophone, et au développement de nouvelles offres à destination des petits commerçants.

‘‘Ce financement Bridge permettra à cette startup prometteuse de confirmer sa place sur le marché du détail en Afrique de l’Ouest, très gourmand en innovation, notamment celles qui permettent d’optimiser les chaînes logistiques et compresser les prix. Nous sommes heureux de soutenir cette dynamique”, a laissé entendre Isadora Bigourdan, PDG de Digital Africa.

Quant à Sidy Niang, co-président de Maad, cette initiative constitue un coup de pouce dans sa mission qui consiste à renforcer le secteur informel de la vente au détail en Afrique de l’Ouest francophone. ‘‘Avec ce financement, Maad pourra offrir ses services d’approvisionnement à des milliers de détaillants supplémentaires. Maad pourra également continuer à développer son portefeuille de données innovantes et d’outils de financement pour les petits détaillants et les fournisseurs nationaux”, dira-t-il.

Notons que Maad, créée en 2021, compte actuellement un portefeuille de plus de 5 000 commerçants au Sénégal.

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Tension socio-politique au Sénégal: les dégâts se chiffrent à des centaines de milliards FCFA perdus https://loeilducontinent.com/tension-socio-politique-au-senegal-les-degats-se-chiffrent-a-des-centaines-de-milliards-fcfa-perdus/ https://loeilducontinent.com/tension-socio-politique-au-senegal-les-degats-se-chiffrent-a-des-centaines-de-milliards-fcfa-perdus/#respond Wed, 14 Jun 2023 12:51:25 +0000 https://loeilducontinent.com/?p=3638 Le Conseil national du patronat (CNP), par la voix de son président, a déploré la perte de centaine de milliards de francs Cfa dans de nombreux secteurs lors des manifestations qui ont éclaté après la condamnation de l’opposant Ousmane Sonko. ”Des entreprises du secteur privés du pétrole et du gaz, de la grande distribution, des […]

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Le Conseil national du patronat (CNP), par la voix de son président, a déploré la perte de centaine de milliards de francs Cfa dans de nombreux secteurs lors des manifestations qui ont éclaté après la condamnation de l’opposant Ousmane Sonko.

”Des entreprises du secteur privés du pétrole et du gaz, de la grande distribution, des télécommunications et du numérique ont été brûlés et pillés et vandalisés. Il s’en est suivi un arrêt des activités économiques quasi-généralisé pendant trois jours. Au total, des centaines de milliards FCA ont été perdus en investissements et en chiffre d’affaires”, a révélé Baidy Angne.

Il s’exprimait lors d’une conférence de presse destiné à faire le point sur les dégâts matériels enregistrés par le secteur privé lors des récentes évènements violents survenus après la condamnation de l’opposant Ousmane Sonko à deux ans de prison ferme pour ”corruption de la jeunesse”.

Lors de cette rencontre, des groupements sectoriels et des directeurs généraux de sociétés impactés ont fait également le point sur les préjudices qu’ils ont subis.

La Sonatel a déclaré avoir perdu plus de 677 millions CFA à cause de la coupure d’internet l’ayant obligé à mettre 309 travailleurs en chômage technique.

L’opérateur de transfert d’argent wave dit avoir noté une baisse de 40% de l’utilisation de ses services pour au total 7 millions de clients impactés par la coupure d’internet.

Quatorze banques et sept magasins Auchan attaqués

Bocar Sy, l’administrateur général de la Banque de l’habitat, a révélé que 14 banques ont été attaquées. Chaque banque a enregistré une perte estimée à 150 millions CFA.

Au total, sept magasins Auchan ont été attaqués et plus 300 travailleurs risquent d’être mis en chômage technique.

‘’Depuis mars 2021, Auchan Sénégal fait face aux attaques, saccages et pillages de ses magasins avec des conséquences d’énormes pertes. En 2021, 19 magasins ont été  attaqués, c’est plus 15 milliards de perte”, ont rappelé les responsables de la société présents à la conférence de presse.

Le groupe Auchan soutient qu’à ce jour plus 2300 sénégalais travaillent au sein de la société. Six cents Sénégalais y opèrent en tant que fournisseurs et plus d’un millier en tant que de prestataires.

A titre d’impôts pour l’année 2022, Auchan déclare avoir versé des droits et taxes exigibles par l’Etat d’un montant de 23 milliards de francs CFA.

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Parlons-en : Viande cultivée, viande artificielle, viande sans animaux ! https://loeilducontinent.com/parlons-en-viande-cultivee-viande-artificielle-viande-sans-animaux/ https://loeilducontinent.com/parlons-en-viande-cultivee-viande-artificielle-viande-sans-animaux/#respond Fri, 19 May 2023 11:21:28 +0000 https://loeilducontinent.com/?p=3496 C’est une nouvelle ère pour l’industrie agroalimentaire qui a été annoncée en décembre 2020 depuis Singapour, premier pays au monde à autoriser la commercialisation de la viande cultivée en laboratoire. La startup américaine Eat Just, détentrice de la licence, pourra ainsi commercialiser des morceaux de poulet (Nuggets) à base de viande de volaille développée in […]

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C’est une nouvelle ère pour l’industrie agroalimentaire qui a été annoncée en décembre 2020 depuis Singapour, premier pays au monde à autoriser la commercialisation de la viande cultivée en laboratoire.

La startup américaine Eat Just, détentrice de la licence, pourra ainsi commercialiser des morceaux de poulet (Nuggets) à base de viande de volaille développée in vitro. Un produit carné très spécial qui marquera, selon ses promoteurs, une véritable révolution alimentaire.

Aleph, une startup israélienne, lui a emboîté le pas en signant un contrat avec à l’une des plus grandes sociétés agroalimentaires du Brésil “BRF S.A” pour la production de cette viande dite artificielle, rapporte le 26 janvier 2022 BAB, magazine intelligent de l’agence marocaine de presse.

Quoique qualifiée de “révolutionnaire”, la viande “fabriquée” in vitro repose sur une technique des plus simples, utilisée en bio-ingénierie dès le début du 20ème siècle, à savoir la culture cellulaire.

Le principe consiste en le développement ex nihilo de cellules musculaires dans un environnement similaire à celui du corps de l’animal. Cela permet de produire de la viande parfaitement consommable sans avoir à élever ni à abattre des animaux.

Après un prélèvement par biopsie de cellules souches sur le tissu musculaire de la bête (vache, bœuf, poulet…), on les place dans des cuves riches en nutriments nécessaires à leur croissance. Des cellules de graisse et de tissus conjonctifs sont ensuite ajoutées pour former de la viande.

Résultat: un steak qui reproduit à l’identique le goût, l’odeur et la couleur de la viande réelle.

Selon la startup spécialisée Mosa Meat, plus de 9.000 kg de viande cultivée peuvent être produites à partir d’un petit échantillon du tissu musculaire d’une vache.

Un parcours jalonné de défis techniques

Ceci dit, obtenir une lamelle de viande développée en laboratoire n’est pas une sinécure. C’est, en effet, un parcours jalonné de défis techniques.

Le premier de ces défis se rapporte à la mise à disposition de bioréacteurs, c’est-à-dire des cuves ultrasophistiquées d’une capacité allant jusqu’à 25 mille litres chacune, afin de créer un environnement favorable à la croissance des cellules souches. Chaque cuve produit des quantités pouvant nourrir jusqu’à 10 mille personnes. Imaginez donc combien faut-il de bioréacteurs si jamais la transition de la viande “conventionnelle” à celle artificielle est réalisée!

La deuxième problématique est relative à l’utilisation du sérum de veau fœtal, obtenu à partir du sang du fœtus après l’abattage d’une vache enceinte, pour fournir un milieu de culture optimal. Cette méthode pose problème parce qu’elle nécessite un grand nombre de vaux pour pouvoir passer à une production à grande échelle, en plus des réserves qu’elle susciterait dans les milieux des végans et chez certaines communautés religieuses.

“Propre”, “durable”, “respectueuse des droits des animaux”… Les partisans de cette technologie ne tarissent pas d’éloges à son égard et la présentent même comme la viande de demain.

Du côté des consommateurs, et faisant abstraction des réticences d’ordre religieux ou éthique qui pourraient surgir à l’encontre d’un tel produit, le succès ou non de la viande artificielle est tributaire de trois critères essentiels: l’hygiène, le prix et le goût.

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Sénégal : Dr Sidy Ndao remporte le Grand Prix du chef de l’Etat pour l’innovation numérique https://loeilducontinent.com/senegal-dr-sidy-ndao-remporte-le-grand-prix-du-chef-de-letat-pour-linnovation-numerique/ https://loeilducontinent.com/senegal-dr-sidy-ndao-remporte-le-grand-prix-du-chef-de-letat-pour-linnovation-numerique/#respond Wed, 17 May 2023 13:43:54 +0000 https://loeilducontinent.com/?p=3457 Dr Sidy Ndao a reçu, mardi, des mains du président Macky Sall, le Grand Prix du chef de l’Etat pour l’innovation pour son projet robotique ‘’Caytu’’. Il a reçu sa distinction lors du lancement de la première édition de la Semaine du numérique au grand théâtre national. Le prix est doté d’un chèque 30 millions […]

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Dr Sidy Ndao a reçu, mardi, des mains du président Macky Sall, le Grand Prix du chef de l’Etat pour l’innovation pour son projet robotique ‘’Caytu’’. Il a reçu sa distinction lors du lancement de la première édition de la Semaine du numérique au grand théâtre national. Le prix est doté d’un chèque 30 millions CFA.

En avril 2020 déjà, le World Economic forum, classait le Dr Sidy Ndao, spécialisé en robotique et mécanique, parmi les scientifiques de moins de 40 ans qui contribuent de manière significative à l’avancement des frontières de la science dans le domaine de la santé, la durabilité, l’inclusivité et l’équité.

Son groupe de recherche est reconnu pour avoir développé le premier ordinateur thermique au monde. Cet ordinateur pourrait fonctionner sous une chaleur extrême, ce qui ouvre des possibilités pour l’exploration des espaces profonds et des profondeurs de la surface de la Terre.

‘’Le Grand Prix pour l’innovation numérique récompense des projets/startups innovants, à très fort potentiel et qui, par leur innovation et leurs impacts, contribuent fortement à améliorer la vie des Sénégalais’’, a souligné le chef de l’Etat.

Ce Grand Prix, a précisé le président Sall selon toujours l’Agence de presse sénégalaise, s’inscrit dans son ambition de “faire du numérique, au même titre que les autres secteurs d’activités, un espace de développement de l’entreprenariat au service de l’émergence économique et sociale du Sénégal’’.

Abdoul Aziz Ben Mayoro Diop, 27 ans, est le lauréat du prix spécial jeune pour sa startup ‘‘Senvitale’’. Ndèye Awa Sall, 33 ans, est lauréate du prix spécial femme pour son projet “Jaapci”. Ils recevront chacun un ordinateur, une tablette et un chèque 15 millions.

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Automobile : Le constructeur japonais Toyota Tsusho va implanter deux nouvelles usines en Afrique https://loeilducontinent.com/automobile-le-constructeur-japonais-toyota-tsusho-va-implanter-deux-nouvelles-usines-en-afrique/ https://loeilducontinent.com/automobile-le-constructeur-japonais-toyota-tsusho-va-implanter-deux-nouvelles-usines-en-afrique/#respond Thu, 04 May 2023 14:27:40 +0000 https://loeilducontinent.com/?p=3229 Le constructeur automobile japonais Toyota Tsusho prévoit l’implantation de deux nouvelles usines en Afrique, a annoncé le conseiller exécutif principal du groupe, Jun Karube, le 2 mai. « Toyota établira deux usines sur le continent, chacune ayant une capacité de production de 100 000 voitures par an, en plus de ses usines déjà existantes dans plusieurs pays […]

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Le constructeur automobile japonais Toyota Tsusho prévoit l’implantation de deux nouvelles usines en Afrique, a annoncé le conseiller exécutif principal du groupe, Jun Karube, le 2 mai.

« Toyota établira deux usines sur le continent, chacune ayant une capacité de production de 100 000 voitures par an, en plus de ses usines déjà existantes dans plusieurs pays africains », a déclaré M. Karube, lors d’une rencontre tenue au Caire avec le président de l’Autorité générale égyptienne pour l’investissement et les zones franches (GAFI), Hossam Heiba.

M. Karube, qui était auparavant le président du conseil d’administration du groupe Toyota Tsusho, a également précisé que l’Egypte est l’un des favoris pour l’installation de l’une des usines, indiquant que ce pays d’Afrique du Nord abrite déjà plusieurs équipementiers automobiles et offre une main-d’œuvre qualifiée et un climat d’investissement propice.

L’annonce par le groupe Toyota de l’implantation de deux usines en Afrique intervient en marge de la tournée qu’effectue le Premier ministre japonais, Fumio Kishida, sur le continent. Dans le cadre de sa tournée africaine, le dirigeant japonais s’est déjà rendu en Egypte et au Ghana. Il est également attendu au Kenya et au Mozambique.

Toyota dispose déjà d’usines d’assemblage de véhicules en Afrique du Sud, au Kenya et au Ghana.

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