Lifestyle – L'oeil du continent https://loeilducontinent.com Au coeur de l’information économique et financière de l’Afrique Thu, 11 Apr 2024 21:06:34 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.5.3 https://loeilducontinent.com/wp-content/uploads/2022/08/cropped-Fichier-1-32x32.png Lifestyle – L'oeil du continent https://loeilducontinent.com 32 32 209421051 Les serviettes écologiques bio, une réponse éco-responsable à la crise écologique https://loeilducontinent.com/les-serviettes-ecologiques-bio-une-reponse-eco-responsable-a-la-crise-ecologique/ https://loeilducontinent.com/les-serviettes-ecologiques-bio-une-reponse-eco-responsable-a-la-crise-ecologique/#respond Thu, 11 Apr 2024 20:53:18 +0000 https://loeilducontinent.com/?p=4213 C’est dans un atelier situé à Ngaparou (région de Thiès), que Marina Gning, la présidente et son équipe fabriquent les protections hygiéniques réutilisables en coton fine et confortables destinés à l’Afrique Francophone. Ici la colle adhésive est remplacée par un bouton de pression pour assurer un confort à ses utilisateurs.trices. L’idée est partie d’un constat […]

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C’est dans un atelier situé à Ngaparou (région de Thiès), que Marina Gning, la présidente et son équipe fabriquent les protections hygiéniques réutilisables en coton fine et confortables destinés à l’Afrique Francophone. Ici la colle adhésive est remplacée par un bouton de pression pour assurer un confort à ses utilisateurs.trices. L’idée est partie d’un constat selon lequel les protections hygiéniques classiques contiendraient des substances chimiques à la foi néfastes pour la santé de la femme mais aussi pour l’environnement, car à la plupart, il faut au moins une centaine d’années pour se bio dégrader. Le constat a encouragé plusieurs entreprises à s’orienter vers la conception de produits d’hygiène bio.

C’est le cas pour ApiAfrique, entreprise sociale sénégalaise, créée 2016, proposant des solutions innovantes, locales et respectueuses de l’environnement pour l’hygiène des femmes et des bébés. Sa vision : « promouvoir des solutions durables qui contribuent à l’émancipation des femmes à travers la création d’emploi pour les femmes (90% des employés sont des femmes), de réduire les déchets, et de lutter contre l’exclusion ».

ApiAfrique souhaite diffuser des pratiques et des produits respectueux de la nature des femmes et des hommes, lever les tabous autour des règles en informant et en conscientisant les hommes et les femmes sur les questions des règles et les moyens de protections plus sains, « plus les gens seront informés, mieux les jeunes fi lles pourront gérer leur règles » « L’entrepreneuriat qui change le monde » c’est le choix qu’a fait ApiAfrique en lançant ses produits bios pour les femmes et les enfants. Avec des serviettes hygiéniques composées de coton 100 % biologiques vendu à 3000 FCFA la serviette, contre 900 FCFA en moyenne pour les serviettes hygiéniques jetables, ApiAfrique répond à une problématique sanitaire et environnementale. Selon M. Gning co-fondateur et Directeur Général, deux types de serviettes sont proposés : l’une en coton 100 % bio importé certifi é ecotex et l’autre en coton bio fabriqué au Sénégal, afi n réduire le prix des serviettes. Même si la clientèle reste encore modeste du fait de la différence de prix et le manque d’informations, les serviettes bio se vendent de plus en plus.

Pour certaines, la santé a certes un prix mais n’a pas de coût. C’est le cas de Aïcha Ndiaye, utilisatrice de serviettes hygiéniques réutilisables depuis maintenant 2 ans. « Ces serviettes sont faciles à laver et elles sont très confortables en plus je n’ai ni démangeaisons ni boutons lorsque je les utilise. Le plus agréable c’est que je n’ai pas de fuite… Sur le moment ça coûte cher mais à la longue pour moi ça en vaut la peine », explique-t-elle. Le coût de ces produits bio, 3000 à 10 000 FCFA le paquet, reste le premier frein pour plusieurs femmes. Mais, une seule serviette servira en moyenne deux années successives … sur le long terme.

Si certaines trouvent rebutante l’idée de laver leurs serviettes hygiéniques, pour d’autres, c’est un moyen plus sain et sage de se protéger. Selon les experts, une femme utilisera en moyenne 8000 à 10 000 serviettes hygiéniques au cours de sa vie, soit 1 tonne de déchets créée par femme. Pour les bébés, il faut compter en moyenne 5 000 couches jetables entre 0 et 3 ans, soit près d’une tonne de déchets. De plus, certains ces produits jetables entraînent inconfort, problèmes de santé à court, moyen et long terme. Par ailleurs, lorsqu’on fait le calcul, ce sont des sommes astronomiques qui sont dépensées en protections hygiéniques.

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Azalaï Hotel Dakar : la nouvelle référence en matière d’hospitalité de luxe au Sénégal https://loeilducontinent.com/azalai-hotel-dakar-la-nouvelle-reference-en-matiere-dhospitalite-de-luxe-au-senegal/ https://loeilducontinent.com/azalai-hotel-dakar-la-nouvelle-reference-en-matiere-dhospitalite-de-luxe-au-senegal/#respond Thu, 15 Feb 2024 20:46:40 +0000 https://loeilducontinent.com/?p=4106 Présent dans les principales capitales d’Afrique de l’Ouest dont Abidjan, Bamako, Cotonou, Nouakchott, Bissau et Loumbila, la nouvelle pépite hôtelière a fait son apparition sur la route de la Corniche Ouest de Dakar dans le quartier Fann Hock, avec une vue imprenable sur la mer et l’îlot sarpan. Doté de 4 étoiles étincelantes, cet établissement […]

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Présent dans les principales capitales d’Afrique de l’Ouest dont Abidjan, Bamako, Cotonou, Nouakchott, Bissau et Loumbila, la nouvelle pépite hôtelière a fait son apparition sur la route de la Corniche Ouest de Dakar dans le quartier Fann Hock, avec une vue imprenable sur la mer et l’îlot sarpan.

Doté de 4 étoiles étincelantes, cet établissement de haut standing offre bien plus qu’un simple lieu de séjour : c’est une véritable oasis de bien-être et de sophistication au cœur de l’effervescence urbaine de Dakar.

Dans un cadre tradimoderne avec une gamme complète d’installations haut de gamme et un personnel au petit soin pour le bonheur des visiteurs, cette adresse promet une expérience gastronomique et un séjour inoubliable, alliant luxe, confort et bien-être.

Loin d’être un simple hôtel, Azalaï se présente comme un véritable complexe de prestige, abritant plus de 80 chambres, un restaurant raffiné, un spa somptueux et même une salle de sport ultramoderne.

L’image de marque d’Azalaï Hôtel repose sur son engagement à offrir à sa clientèle une expérience aussi exquise qu’inédite. Chaque détail, de l’architecture élégante à la cuisine raffinée, en passant par les services personnalisés, est pensé pour ravir les sens et combler les attentes les plus exigeantes.

Mais Azalaï ne se contente pas seulement d’être un joyau de l’hospitalité sénégalaise. En tant qu’acteur économique majeur, cet établissement vise à contribuer activement au développement du pays.

En offrant des emplois locaux, en soutenant les producteurs et artisans locaux, et en attirant une clientèle internationale, Azalaï participe à dynamiser l’économie locale et à promouvoir le tourisme au Sénégal.
Ainsi, Azalaï s’impose comme bien plus qu’un simple hôtel de luxe. C’est un véritable catalyseur de développement économique, un symbole de l’excellence sénégalaise et une nouvelle destination incontournable pour les voyageurs en quête d’une expérience exceptionnelle.

Azalai hotel

Carte d’acces :

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Abarings : transcender l’esthétique des bijoux pour célébrer l’essence des richesses africaines https://loeilducontinent.com/partenariat-avec-abanaturelle-de-fatou-diedhiou/ https://loeilducontinent.com/partenariat-avec-abanaturelle-de-fatou-diedhiou/#respond Mon, 04 Dec 2023 21:48:27 +0000 https://loeilducontinent.com/?p=3997 Il y a quelque temps, nous avons rencontré Fatou Diedhiou, plus connue sous le nom de Abanaturelle, pour établir un partenariat avec L’OEil du Continent Media dans le cadre d’un projet avec le Ministère du Tourisme et des Transports aériens avant la scission du Ministère. Nous avons été véritablement touchés par les messages derrière ses […]

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Il y a quelque temps, nous avons rencontré Fatou Diedhiou, plus connue sous le nom de Abanaturelle, pour établir un partenariat avec L’OEil du Continent Media dans le cadre d’un projet avec le Ministère du Tourisme et des Transports aériens avant la scission du Ministère.

Nous avons été véritablement touchés par les messages derrière ses créations sous la marque Abarings, et nous avons donc souhaité arborer ses bijoux pour la campagne de promotion du magazine L’OEil du Continent, car ils correspondent parfaitement à la vision du magazine en mettant en avant les réalisations sur le continent, aussi bien par les dirigeants que par les particuliers.

L’Afrique regorge d’énormément de richesses, et Fatou DIEDHIOU , à travers sa marque Abarings, a trouvé un moyen très original et beau de les mettre en avant, avec des bijoux rappelant chaque trait ou monument important en Afrique.

abanaturelle

Notre coup de cœur est le bijou « Renaissance » , une représentation du Monument de la Renaissance, situé au Sénégal plus précisément à Dakar, symbolisant la renaissance Africaine, composé d’une bague, d’un bracelet, de boucles d’oreilles. Ensuite, il y a le bijou « Teranga », avec une touche fine et stylée rappelant le très connu car rapide du Sénégal, l’un des moyens de transport terrestre les plus populaires au pays de la Teranga. 

Nous ne pouvions pas oublier l’Amazone, un bijou imposant rappelant la statue Amazone du Bénin, symbole du courage et de la vaillance des femmes béninoises. Il y a également de petites pépites exclusivement créées pour ce partenariat. Vous seriez émerveillés par l’ingéniosité derrière ces chefs-d’œuvre, en toute objectivité.

Reconnue pour ses créations de contenu mettant en avant les cheveux naturels, Fatou DIEDHIOU dit Abanaturelle s’est également forgée une place significative dans le domaine des bijoux. L’ayant personnellement rencontrée, si nous devions définir Aba Naturelle en trois mots, ce serait professionnalisme, finesse et raffinement. En tout cas, c’est l’image que reflètent ses créations et elle-même par la même occasion.

 

 

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Restauration des plages de Saly : le sourire retrouvé des acteurs touristiques https://loeilducontinent.com/restauration-des-plages-de-saly-le-sourire-retrouve-des-acteurs-touristiques/ https://loeilducontinent.com/restauration-des-plages-de-saly-le-sourire-retrouve-des-acteurs-touristiques/#respond Wed, 19 Jul 2023 09:58:43 +0000 https://loeilducontinent.com/?p=3949 Les plages de Saly connues pour leur beauté avaient subi les effets de l’érosion côtière, il y a quelques années.  Avec le concours de l’État, à travers le Programme de développement du tourisme et des entreprises (Pdte), la station balnéaire a retrouvé son charme d’antan. Aujourd’hui, touristes, hôteliers et simples riverains trouvent leurs comptes dans […]

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Les plages de Saly connues pour leur beauté avaient subi les effets de l’érosion côtière, il y a quelques années.  Avec le concours de l’État, à travers le Programme de développement du tourisme et des entreprises (Pdte), la station balnéaire a retrouvé son charme d’antan. Aujourd’hui, touristes, hôteliers et simples riverains trouvent leurs comptes dans la restauration des plages de Saly.

De loin, ces immenses blocs de pierres noires dans l’eau ne laissent pas indifférent le nouveau venu. Ces brise-lames et épis installés dans les eaux sont le fruit d’un vaste projet de récupération des plages de la station balnéaire de Saly. Il y a quelques années, la zone avait subi l’assaut dévastateur de l’érosion côtière. Saly risquait ainsi de perdre l’une des facettes de son charme : son volet touristique. Aujourd’hui, avec les investissements de l’État, à travers le Programme de développement du tourisme et des entreprises (Pdte), la station balnéaire retrouve son lustre d’antan. La machine touristique tourne à plein régime. Le programme de restauration et de protection des plages de Saly fait ses effets. « On est satisfait des travaux de restauration des plages. Il y a quelques années, c’était presque impossible de se tenir là où tu es, sans que tes pieds ne soient dans l’eau. Avec l’achèvement des ouvrages du Pdte, nous constatons que l’eau a bien reculé. Nous disposons donc, de nouveau, de nos plages et nous avons repris nos activités », déclare Baye Fall, vendeur d’œuvres d’art.

Mi-juillet. Il est 9 heures du matin passées de 20 minutes, la météo affiche 30°. Sur la plage, seul le déferlement des vagues et le bruit des engins dans l’eau assurent l’ambiance. Sur la rive de la plage Savana, un homme fait calmement son footing matinal. Ce touriste français vient tous les trois mois à Saly. Pour lui, l’état actuel des plages a un impact sur les visiteurs. « Saly a changé de visage. Je suis témoin de l’époque où l’érosion côtière avait presque tout pris. Nous sommes très heureux de profiter, aujourd’hui, de ces belles plages », avance-t-il, sourire aux lèvres, avant de reprendre son chemin. En cette période de basse saison touristique, les quelques touristes présents sur les lieux profitent au max de la « téranga » des plages de Saly. Sur la même rive, un peu plus loin, Caty profite des bienfaits de la plage. Sous une paillote, bien installée dans son lit de camp, elle attend sa fille Béatrice. En bikini noir assorti de lunettes de soleil, Caty lit calmement le roman qu’elle a entre ses mains. Depuis 22 ans, cette Française visite le Sénégal. Aujourd’hui, Caty a acheté sa propre maison à Saly. « Je connais bien le Sénégal. Là en face de moi, nous avons des plages très propres et très belles aussi. Saly fait partie des sites qui attirent le plus de touristes européens au Sénégal. Vous voyez comment c’est beau. C’est un site idyllique. Pour avoir visité l’Ile Maurice, le Maroc et d’autres pays, je trouve Saly beau et très attrayant », renchérit Caty.

Plus loin, un groupe d’amis, des touristes qui sont venus profiter du soleil. À côté, un couple, dos au soleil. Les deux compagnons, en vacances, sont venus découvrir la beauté des plages. « Vous savez quand on vous raconte la beauté de ces plages, vous mourrez d’envie de venir découvrir », lance le mari. Cette plage qui se trouve à proximité de l’hôtel de Boubacar Sabaly porte le nom de Savana. Comme celles de « Téranga » et de « Gnax-Gnaxal », la plage Savana est réaménagée pour aider les hôteliers à maintenir leur clientèle. « Depuis qu’on a restauré les plages, nous retrouvons progressivement l’activité normale du tourisme. L’international retrouve également son besoin primaire ; c’est-à-dire le bord de mer », affirme Boubacar Sabaly, Directeur général de l’hôtel Bougainvillées. Ainsi, selon M. Sabaly, les travaux de restauration des plages de Saly ont permis un accroissement du volume de touristes à destination du Sénégal.

Une offre pour la clientèle locale

Les hôteliers qui opèrent dans la station balnéaire de Saly connaissent de plus en plus une autre forme de clientèle depuis l’avènement de la Covid-19. Cette partie côtière du Sénégal, jadis fréquentée par les touristes internationaux, est devenue l’attraction des Sénégalais. Saly, c’est aussi un site de développement du tourisme local. Si la haute saison touristique (novembre-avril) a ses clients de marque, la basse saison aussi (mai-octobre) a de quoi tenir. Durant cette période, les hôteliers formulent de nouvelles offres pour répondre aux besoins de la clientèle. « On s’adapte aux besoins de consommation de nos clients » renseigne Boubacar Sabaly. « Dans le segment de la clientèle locale, la plus grande partie reste le segment séminaire. Ensuite, nous avons des clients de séjours et de weekend. Les visites pédagogiques et les colonies de vacances font aussi partie de la clientèle locale de notre secteur d’activité », ajoute M. Sabaly. Pour tirer leur épingle du jeu, les hôtels s’adaptent aux exigences de l’heure. Un renouvellement périodique des services est mis en place. « On s’adapte aux modes de consommation de nos clients », rajoute le Directeur général de Bougainvillées.

Gestion des plages…

Avec la forte chaleur de l’été, les plages de Saly ne désemplissent pas les weekends. À côté des hôtels, d’autres activités poussent au bord de la plage. Des cantines et restaurants sont installés pour répondre aux besoins des visiteurs du weekend. Cette forte affluence nécessite une bonne gestion des lieux pour offrir un bon cadre environnemental. Ainsi, les populations locales sont impliquées dans l’entretien et la surveillance des sites. D’ailleurs, le programme de développement du tourisme et des entreprises a pris en compte les trois aspects que sont l’économie, le social et l’environnement. Ainsi, la gestion des plages est confiée à la mairie de Saly. Pour garder les plages propres et attractives, Ibrahima Diagne, conseiller municipal et chargé de la gestion des plages à la mairie de Saly, s’associe avec les jeunes et les groupements de femmes transformatrices de produits halieutiques. Ces dernières assurent, à tour de rôle, le nettoyage des plages. « Certainement, tu penses que nous sommes dans un périmètre hôtelier ; or non. Cet environnement paradisiaque est le résultat des efforts de la population qui reste déterminée à bien gérer cette plage », s’exclame Ibrahima Diagne. Ces femmes formées à travers un financement du Pdte passent tous les jeudis pour récupérer les ordures sur les plages. Pour Ibrahima Diagne, la restauration des plages qui a coûté plus de 30 milliards de Fcfa, doit être accompagnée par des initiatives citoyennes pour encourager l’État à accroître les investissements dans le secteur touristique, premier levier économique de la commune de Saly. De leur côté, chaque hôtel prend en charge son périmètre. Pour l’entretien des cocotiers implantés le long des plages, la Sapco a mis en place un mécanisme pour assurer, au moins, deux arrosages par semaine.

LeSoleil.sn

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Administration de contraceptifs en pharmacie : AcDev soutient les femmes en quête de contrôle de leur corps https://loeilducontinent.com/administration-de-contraceptifs-en-pharmacie-acdev-soutient-les-femmes-en-quete-de-controle-de-leur-corps/ https://loeilducontinent.com/administration-de-contraceptifs-en-pharmacie-acdev-soutient-les-femmes-en-quete-de-controle-de-leur-corps/#respond Thu, 06 Jul 2023 16:47:41 +0000 https://loeilducontinent.com/?p=3887 Amener l’Etat du Sénégal à autoriser l’administration de produits contraceptifs tels que le DMPA-SC dans les pharmacies privées. C’est là le projet partagé, ce jeudi, avec la presse-santé par l’ONG Action Et Développement (AcDev) qui le porte depuis huit mois, maintenant. Mais un obstacle majeur se dresse devant elle. Car, bien que les pharmaciens soient […]

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Amener l’Etat du Sénégal à autoriser l’administration de produits contraceptifs tels que le DMPA-SC dans les pharmacies privées. C’est là le projet partagé, ce jeudi, avec la presse-santé par l’ONG Action Et Développement (AcDev) qui le porte depuis huit mois, maintenant.

Mais un obstacle majeur se dresse devant elle. Car, bien que les pharmaciens soient formés dans l’administration des injections, la loi ne leur permet pas d’en administrer.

« Le Ministère de la santé doit aider à faire en sorte que dans les pharmacies privées les pharmaciens et employés de pharmacies aient le droit d’administrer le DMPA-SC y compris l’initiation des clientes à l’auto-injection », a plaidé Momar Talla Seck, responsable du projet de plaidoyer règlementaire pour l’extension de l’offre de services du DMPA-SC dans les pharmacies privées du Sénégal.

Le DMPA est un contraceptif progestatif courant qui signifie « dépôt médroxyprogestérone acétate » (en anglais), et « acétate de médroxyprogestérone dépôt » (en français). Il existe en deux modes d’administration : Intramusculaire et sous cutané.

Ce nouvel injectable a permis de mettre en évidence son potentiel à attirer de nouvelles utilisatrices de la planification familiale et à donner aux femmes plus d’autonomie et de contrôle sur leurs décisions de planification familiale.

Des pays africains comme la Côte d’Ivoire, la Zambie, le Nigeria, le Niger etc. tirent grand bien dans l’offre des méthodes contraceptives dans les pharmacies et dans les dépôts de vente de médicaments parce que reconnue comme une intervention à haut impact prometteuse et implémentée.

Au Sénégal, il est déjà offert par les prestataires dans les structures publiques d’offre de services, dans certaines cliniques privées et les cliniques privées des ONG AcDev, ASBEF, MSI, etc. et également au niveau communautaire dans les cases de santé. Il n’est aussi distribué dans les pharmacies privées (officines) que pour la vente uniquement.

« L’injection de ces produits, ce n’est pas compliqué, c’est comme quand on utilise l’insuline. On ne peut pas comprendre qu’on puisse autoriser les Agents de santé communautaire (ASC) à faire ce genre de prestation, et qu’on l’interdise aux pharmaciens qui, en 4ème année d’études, ont acquis des connaissances en soins infirmiers. C’est une aberration », a regretté M. Seck.

L’objectif d’AcDev à travers ce projet est de contribuer à l’augmentation du taux de prévalence contraceptive au Sénégal qui se situe actuellement à 26%.

L’Enquête démographique et de santé EDS-2019 au Sénégal révèle que les pharmacies constituent la première source d’approvisionnement en contraceptifs modernes au sein du secteur privé de la santé.

L’offre d’injectables aux clientes de PF volontaire par les pharmacies privées est inscrite au rang des interventions à haut impact sur la planification familiale (PF), afin d’atteindre l’objectif de 46% de taux de prévalence contraceptive (TPC) en 2026 et de réduire les besoins non satisfaits de 25,2% à 10%. Tout ceci, dans le but de baisser la mortalité maternelle et d’accélérer la transition démographique pour un Sénégal émergent en 2035, relève M. Seck.

L’impossibilité d’être sous contraception et son corolaire de malheurs   

Sur 1,9 milliard de femmes en âge de procréer (15-49 ans) dans le monde, 1,1 milliard ont besoin de planification familiale ; parmi celles-ci, 842 millions utilisent des méthodes de contraception, et 270 millions n’ont pas accès à la contraception dont elles ont besoin, souligne un rapport de l’Organisation mondiale de la santé, publié en 2019.

Pourtant, 214 millions de femmes et de filles ont un besoin de contraception non satisfait, ce qui signifie qu’elles veulent éviter ou retarder une grossesse mais n’utilisent aucune méthode contraceptive.

Selon la même source, ce besoin non satisfait entraîne 111 millions de grossesses non désirées chaque année, ce qui représente 49 % de toutes les grossesses dans les pays à revenu faible et intermédiaire (PRFI).

Ainsi en Afrique, 24 % de personnes n’ont pas accès à la planification familiale. Plus de 100 000 femmes en Afrique de l’Ouest et du Centre meurent chaque année des causes liées à la grossesse évitable, plus que dans toute autre région du monde, ajoute au même moment une étude de l’UNFPA.

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Dakar: 100 tonnes d’aliments périmés mises hors d’état de nuire à la décharge de Mbeubeuss https://loeilducontinent.com/dakar-100-tonnes-daliments-perimes-mises-hors-detat-de-nuire-a-la-decharge-de-mbeubeuss/ https://loeilducontinent.com/dakar-100-tonnes-daliments-perimes-mises-hors-detat-de-nuire-a-la-decharge-de-mbeubeuss/#respond Thu, 22 Jun 2023 16:35:13 +0000 https://loeilducontinent.com/?p=3783 Des amas d’aliments avariés retirés des marchés de Dakar réduits à de la boue à chaque passage de l’engin bulldozer. La scène se passe à la décharge de Mbeubeuss sous le regard désireux de s’en procurer d’apprentis récupérateurs, des enfants d’à peine dix ans, tenus cependant à carreaux. Le service national de l’hygiène a procédé, […]

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Des amas d’aliments avariés retirés des marchés de Dakar réduits à de la boue à chaque passage de l’engin bulldozer. La scène se passe à la décharge de Mbeubeuss sous le regard désireux de s’en procurer d’apprentis récupérateurs, des enfants d’à peine dix ans, tenus cependant à carreaux.

Le service national de l’hygiène a procédé, jeudi 22 juin, à la destruction des produits périmés ou altérés saisis par les sous-brigades d’hygiène de Dakar, lors des activités de police de l’hygiène pour la sécurité sanitaire des aliments durant les mois de Carême et de Ramadan derniers.
« Ces produits prohibés ont été récupérés dans les boutiques et les grands lieux de commerce. Parce qu’on ne peut pas prendre des produits prohibés et les laisser à la portée de la population. Et ça risque d’entraîner des maladies. C’est pourquoi nous sommes venus à Mbeubeuss pour faire la destruction », a expliqué le Lieutenant Armand Seck, commandant de la brigade régionale d’hygiène de Dakar.
Une fois que les produits périmés sont détruits, ils sont aussitôt enfouis pour être sûrs qu’ils sont hors d’état de nuire.
Les éléments du Service National d’Hygiène, avec l’appui logistique de l’Ucg et de la Sonageb, ont détruit sur place 75 tonnes de produits alimentaires altérés, en attendant l’arrivée du stock de la sous-brigade de Mbao estimé à 25 tonnes de déchets.
« Nous appelons les populations à changer de comportement. Mais aussi les commerçants à avoir de l’honnêteté de ne pas vendre à la population des produits altérés ou périmés », a lancé le Lieutenant Seck.
Il invite les consommateurs à plus de vigilance en prenant le soin de vérifier au préalable les dates de péremption avant d’acheter les produits.
« Nous mangeons mal parce que nous achetons des produits prohibés. Il faut qu’on fasse tout pour vérifier ce qu’on achète sinon nous risquons de mettre en danger nos vies », a-t-il prévenu.
Appel à plus de vigilance à l’approche de la Tabaski

Le patron de la Brigade régionale d’hygiène de Dakar a annoncé un renforcement de la vigilance pour accélérer davantage les contrôles et augmenter le nombre de décentes.

« Avec l’approche de la Tabaski, il faut que les gens fassent très attention. Il y a beaucoup de produits périmés qui sont gardés par certains commerçants qui cherchent la moindre occasion pour les déverser dans les marchés », a-t-il insisté ajoutant pour rassurer que de leur côté, le nécessaire sera fait pour traquer ces commerçants et mettre leurs produits hors état de nuire.
« Nous avons des sous brigades qui sont dotés des moyens pour faire ce travail. Cette année, nous avons eu une augmentation des effectifs sur le recrutement et ce renforcement de notre effectif nous permet de mener à bien notre mission », a notamment indiqué Lieutenant Seck.

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Sénégal : l’Etat consent 30 milliards FCFA pour digitaliser le système de santé https://loeilducontinent.com/senegal-letat-consent-30-milliards-fcfa-pour-digitaliser-le-systeme-de-sante/ https://loeilducontinent.com/senegal-letat-consent-30-milliards-fcfa-pour-digitaliser-le-systeme-de-sante/#respond Tue, 20 Jun 2023 18:57:06 +0000 https://loeilducontinent.com/?p=3740 Le gouvernement du Sénégal a consenti un budget de 30 milliards FCFA pour la digitalisation de son système de santé, a indiqué mardi à Thiès Dr Ibrahima Khalilou Dia ; affirmant que l’Etat a érigé en priorité la santé digitale à travers le Plan national de développement sanitaire et social (Pndss) 2019-2028. « Nous avons, avec la […]

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Le gouvernement du Sénégal a consenti un budget de 30 milliards FCFA pour la digitalisation de son système de santé, a indiqué mardi à Thiès Dr Ibrahima Khalilou Dia ; affirmant que l’Etat a érigé en priorité la santé digitale à travers le Plan national de développement sanitaire et social (Pndss) 2019-2028.

« Nous avons, avec la banque mondiale, un financement de 30 milliards FCFA pour 5 ans et c’est une dette que l’Etat a contractée auprès de cette institution financière », a-t-il  notamment dit.

Dr Dia est coordonnateur de la Cellule de la carte sanitaire et sociale, de la santé digitale et de l’observatoire de santé (Cssdos) et s’exprimait en marge d’un atelier d’information sur la santé digitale à l’intention de l’Association des journalistes en santé, population et développement (Ajspd).

Au regard du travail titanesque que cela demande, il estime peu suffisant l’enveloppe prévue. « Les postes de santé sont au nombre de 1500, 110 centres de santé et 40 hôpitaux. Vous vous imaginez comment nous pouvons mettre l’internet, des équipements, des tablettes, c’est beaucoup d’argent, c’est pourquoi ce financement n’est que pour un point de départ. Si nous arrivons à bien gérer, nous aurons d’autres financements », a-t-il laissé entendre.

Selon Dr Dia, l’objectif de la cellule est de digitaliser tout le système de santé, c’est-à-dire, qu’un poste de santé soit en mesure de consulter à travers un ordinateur, mettre les informations et que demain si le patient revient, que le soignant puisse retrouver le dossier et le mettre à jour.

La santé digitale renvoie aux solutions numériques. « En télémédecine, nous avons fait beaucoup d’efforts pour construire des postes de santé et des hôpitaux, mais nous savons que nous pouvons faire des gains si nous arrivons à faire de la médecine entre les centres de santé et les hôpitaux. Equiper les centres de santé pour qu’un patient qui doit être évacué puisse, déjà à distance, avoir l’avis d’un médecin qui est à Dakar, on appréciera s’il y’a besoin d’être déplacé ou non », a-t-il expliqué.

Les défis de la digitalisation du système de santé

Toutefois, pour l’atteinte des objectifs de la santé digitale, des défis doivent être surmontés. Et pas des moindres.

D’après le coordonnateur de la Cellule, le Sénégal ne dispose pas encore de texte juridique sur la santé numérique. « Nous venons de finaliser le projet de loi d’orientation sur la santé numérique et le décret d’application. Ces textes ont été transmis la semaine dernière au secrétariat général du gouvernement. Ces textes-là sont très bien élaborés et ils reviennent sur la télémédecine, le dossier patient, l’hébergement et les peines sont prévues en cas de divulgation du secret médical, sans autorisation » a détaillé Dr Dia.

L’autre défi, a-t-il poursuivi, a trait au domaine qui attire les partenaires et à la gouvernance des données personnelles au Sénégal. « Nous sommes ouverts à l’aide l’étrangère, mais il faudrait que celle-ci ne remette pas en question cette exigence de confidentialité des données auxquelles seules les personnes assermentées peuvent avoir accès », a-t-il précisé.

Dr Dia ajoute qu’il y’a d’autres défis comme l’énergie, l’Internet qui nécessitent des moyens colossaux.

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Tourisme: le Sénégal reste une Destination sûre, selon le ministère du Tourisme et des Loisirs https://loeilducontinent.com/tourisme-le-senegal-reste-une-destination-sure-selon-le-ministere-du-tourisme-et-des-loisirs/ https://loeilducontinent.com/tourisme-le-senegal-reste-une-destination-sure-selon-le-ministere-du-tourisme-et-des-loisirs/#respond Wed, 14 Jun 2023 10:44:29 +0000 https://loeilducontinent.com/?p=3627 “Le Sénégal reste une destination touristique sûre”, a indiqué le Ministère du Tourisme et des Loisirs annonçant, dans la foulée, l’ouverture bientôt de la saison touristique dans le pays. “Le ministère du Tourisme et des Loisirs, en collaboration avec les services compétents, surveille de très près toute tentative de nuisance à la notoriété de la […]

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“Le Sénégal reste une destination touristique sûre”, a indiqué le Ministère du Tourisme et des Loisirs annonçant, dans la foulée, l’ouverture bientôt de la saison touristique dans le pays.

“Le ministère du Tourisme et des Loisirs, en collaboration avec les services compétents, surveille de très près toute tentative de nuisance à la notoriété de la Destination Sénégal” a-t-il assuré dans un communiqué reçu mercredi.

Les services du ministre Mame Mbaye Niang ont fait cette déclaration au lendemain des évènement sanglants observés début juin courant après l’annonce de la condamnation de l’opposant politique, Ousmane Sonko, à deux ans de prison ferme pour “corruption de la jeunesse” dans l’affaire Sweet Beauté.

Le ministère souligne que le tourisme est un des secteurs qui portent l’économie au Sénégal en ce sens que sa contribution “importante” au Produit intérieur brut (Pis) en fait un levier vital de croissance économique.

“Aujourd’hui, après l’épisode difficile de la pandémie de Covid-19 qui a affecté le tourisme mondial, le Sénégal a consenti des efforts énormes pour la relance du secteur. Par conséquent, des milliers d’emplois ont été sauvegardés et le secteur revit”, ont rappelé les collaborateur du ministre Mame Mbaye Niang.

“Il est vrai que des chocs endogènes ou exogènes peuvent porter préjudice au secteur touristique, dans tous les pays du monde. Pour le cas du Sénégal, les derniers événements observés au début du mois de juin 2023, ont certes perturbé la libre circulation des biens et des personnes”, ont-ils ajouté.

Mais assurent-ils, “la sauvegarde de la sécurité nationale est une des missions régaliennes de l’Etat. La sécurité des Sénégalais en général, des étrangers et des touristes en particulier, est au cœur du dispositif de sécurité. C’est d’ailleurs la raison d’être de la police touristique consacrée à la sécurité exclusive des sites touristiques et des touristes”. 

A cet effet, le Ministère du Tourisme et des Loisirs porte à la connaissance du grand public, notamment des visiteurs et des étrangers résidents au Sénégal de la reprise normale des activités touristiques sur toute l’étendue du territoire national. Cette situation résulte, selon la tutelle, des fortes mesures prises, destinées à assurer la sécurité des personnes et des biens et à maintenir l’ordre public.

“Le Sénégal, Pays de la Téranga, a su, une fois de plus, démontrer sa capacité de résilience et son engagement résolu dans la voix d’une compétitivité durable en dépassant toutes les contingences pour mettre en lumière son énorme potentiel touristique et son attractivité”, lit-on dans son communiqué.

“Le Ministère du Tourisme et des Loisirs, pleinement mobilisé, avec l’ensemble des parties prenantes (représentations diplomatiques, consulaires et autres partenaires) tient, également, à rassurer à toute personne désirant visiter notre pays d’un séjour paisible et agréable”, mentionne aussi le document.

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Alerte de l’OMS: le monde s’apprête à faire face à une maladie encore plus meurtrière que le Covid https://loeilducontinent.com/alerte-de-loms-le-monde-sapprete-a-faire-face-a-une-maladie-encore-plus-meurtriere-que-le-covid/ https://loeilducontinent.com/alerte-de-loms-le-monde-sapprete-a-faire-face-a-une-maladie-encore-plus-meurtriere-que-le-covid/#respond Tue, 23 May 2023 15:02:28 +0000 https://loeilducontinent.com/?p=3589 Ses propos ont de quoi en faire frissonner plus d’un. Selon Tedros Adhanom Ghebreyesus, le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le monde s’apprête à faire face à une épidémie bien pire que le Covid. Personne n’oubliera jamais le Covid, cette très longue période d’incertitude où le monde était à l’arrêt total. […]

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Ses propos ont de quoi en faire frissonner plus d’un. Selon Tedros Adhanom Ghebreyesus, le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le monde s’apprête à faire face à une épidémie bien pire que le Covid.

Personne n’oubliera jamais le Covid, cette très longue période d’incertitude où le monde était à l’arrêt total. Un phénomène qui pourrait malheureusement se reproduire avec des conséquences bien plus graves, à en croire le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, le patron de l’Organisation mondiale de la santé. Alors qu’il dévoilait un nouveau programme mondial pour repérer et suivre les agents pathogènes les plus dangereux, il a tenu des propos inquiétants, relayés par le Daily mail.

Selon lui, la menace d’une autre crise de santé publique ne peut être écartée “sur la route”. Et bien qu’il ait affirmé que les jours les plus sombres de la pandémie soient relégués à l’histoire, une variante apocalyptique de Covid pourrait bien apparaître dans les années à venir. “La menace d’une autre variante émergente qui provoque de nouvelles poussées de maladies et de décès demeure. Et la menace d’un autre agent pathogène émergeant avec un potentiel encore plus mortel est également bien présente”, a-t-il déclaré.

 “Aucune maladie spécifique n’a été mentionnée”

Concrètement, aucune maladie spécifique n’a été mentionnée. Mais la “maladie X” (un espace réservé donné à un agent pathogène dévastateur non encore découvert) figure sur la liste des menaces urgentes de l’agence des Nations Unies. Parmi les autres, on retrouve notamment le Covid ainsi que la fièvre hémorragique de Crimée-Congo, une maladie transmise par les tiques qui tue 30% des personnes qu’elle hospitalise.

Ebola, qui tue environ la moitié des personnes qu’il infecte, en est une autre. Il provoque des vomissements, de la diarrhée, une éruption cutanée, un jaunissement de la peau et des yeux et des saignements par plusieurs orifices, notamment les yeux, les oreilles et la bouche. Dans la liste figurent également Marburg, l’un des agents pathogènes les plus meurtriers jamais découverts, avec un taux de létalité de 88%. Il provoque des symptômes similaires à Ebola.

Enfin, on retrouve la fièvre de Lassa, bénigne ou asymptomatique dans 80% des cas. Elle tue environ 1 à 3% des personnes qu’elle infecte et est endémique dans certaines parties de l’Afrique de l’Ouest. “Lorsque la prochaine pandémie viendra frapper à la porte et elle le fera, nous devons être prêts à répondre de manière décisive, collective et équitable”, a-t-il conclu.

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Mobilisation de ressources contre le paludisme : des experts sénégalais du médicament montrent la voie à suivre https://loeilducontinent.com/mobilisation-de-ressources-contre-le-paludisme-des-experts-senegalais-du-medicament-montrent-la-voie-a-suivre/ https://loeilducontinent.com/mobilisation-de-ressources-contre-le-paludisme-des-experts-senegalais-du-medicament-montrent-la-voie-a-suivre/#respond Tue, 23 May 2023 08:51:21 +0000 https://loeilducontinent.com/?p=3571 Des experts ayant pris part à un atelier de restitution d’une étude de la surveillance post-marketing des médicaments antipaludiques ont plaidé, lundi, à Dakar, pour l’accréditation des laboratoires de contrôle de la qualité des médicaments, afin de mobiliser davantage de financements et de rassurer les partenaires. ‘’Nous avons des défis majeurs liés surtout à l’accréditation […]

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Des experts ayant pris part à un atelier de restitution d’une étude de la surveillance post-marketing des médicaments antipaludiques ont plaidé, lundi, à Dakar, pour l’accréditation des laboratoires de contrôle de la qualité des médicaments, afin de mobiliser davantage de financements et de rassurer les partenaires.

‘’Nous avons des défis majeurs liés surtout à l’accréditation de laboratoires […], ce qui permettrait de pouvoir non seulement mobiliser davantage de financements, mais également de rassurer l’ensemble des partenaires’’, a dit Ibrahima Diallo, le coordonnateur adjoint du Programme national de lutte contre le paludisme.

Il prenait part à cet atelier en même temps que d’autres spécialistes, dont Amadou Moctar Dièye, le directeur des laboratoires du Sénégal, rapporte l’Agence de presse sénégalaise.

Le directeur du contrôle de la qualité à l’Agence sénégalaise de réglementation pharmaceutique (ARP), Djibril Fall, venu présider l’atelier, a souligné l’importance de cette problématique pour le Sénégal qui compte, dit-il, d’éminents spécialistes dans ce domaine.

‘’Cette accréditation aurait été extrêmement importante, car aujourd’hui nous avons contrôlé les antipaludiques […] mais d’autres programmes font contrôler leurs médicaments ailleurs, parce que le laboratoire n’est pas accrédité’’, a déclaré M. Fall, professeur de chimie thérapeutique à la faculté de médecine, de pharmacie et d’odontologie de l’université Cheikh-Anta-Diop de Dakar.

Il a déploré l’inexistence de laboratoires accrédités au Sénégal, tout en assurant que le Sénégal a une vieille culture de contrôle des médicaments.

Selon le professeur Serigne Omar Sarr, chef du service du contrôle physicochimique de la direction du contrôle de la qualité (DCQ) des médicaments de l’ARP, le Sénégal est ‘’très conscient du challenge’’ qu’est la problématique de l’accréditation des laboratoires de contrôle de médicaments. Cette question, ajoute-t-il, est une priorité pour les pouvoirs publics sénégalais.

‘’Nous perdons beaucoup de ressources parce que nous ne sommes pas accrédités’’, a déploré le spécialiste, qui rassure que la DCQ participe à des tests inter-laboratoires, avec des résultats satisfaisants.

C’est une ‘’question de formalisation et de stratégie qui pousse à aller vers l’accréditation, pour capter toutes les ressources qui sont envoyées ailleurs’’, a souligné M. Sarr.

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