Forum – L'oeil du continent https://loeilducontinent.com Au coeur de l’information économique et financière de l’Afrique Tue, 27 Feb 2024 13:52:39 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.5.3 https://loeilducontinent.com/wp-content/uploads/2022/08/cropped-Fichier-1-32x32.png Forum – L'oeil du continent https://loeilducontinent.com 32 32 209421051 Forum Africa DRH 2024 : Vers une Gestion Innovante des Ressources Humaines https://loeilducontinent.com/forum-africa-drh-2024-vers-une-gestion-innovante-des-ressources-humaines/ https://loeilducontinent.com/forum-africa-drh-2024-vers-une-gestion-innovante-des-ressources-humaines/#respond Tue, 27 Feb 2024 13:52:39 +0000 https://loeilducontinent.com/?p=4123 La 4ème édition du Forum Africa DRH, qui s’est tenue ce samedi 24 février au Radisson Blu, a offert une tribune d’échanges et de réflexion sur les défis actuels et futurs de la gestion des ressources humaines en Afrique. Sous le thème central “Recrutement et Rétention des talents : comment faire face aux nouveaux défis […]

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La 4ème édition du Forum Africa DRH, qui s’est tenue ce samedi 24 février au Radisson Blu, a offert une tribune d’échanges et de réflexion sur les défis actuels et futurs de la gestion des ressources humaines en Afrique. Sous le thème central “Recrutement et Rétention des talents : comment faire face aux nouveaux défis ?”.

Cette initiative du magazine Africa Business a accueilli des experts de renom qui ont partagé leurs visions et expériences autour de trois panels thématiques.

Le premier panel portait sur le thème Recrutement et Rétention des talents ; comment faire face aux nouveaux défis ?
Le deuxième Panel était axée autour du thème : La GRH en contexte international : spécificités et contraintes. Le troisième panel quand à lui traitait du thème : Le coaching en Entreprise et formation continue : le jeu en vaut il à chandelle ?

La discussion a été ouverte sur ce premier panel qui a abordé la question du recrutement et de la rétention des talents. Les panelistes, notamment Madame Suzy NGUANGUE, Monsieur Omar KANE, Madame Fama DIOP NDIAYE et Monsieur Bachir DIEDHIOU, ont souligné l’importance de jouer sur la flexibilité, la responsabilisation et la diversité pour enrichir les équipes et assurer la qualité du service. Le message était clair : il ne suffit pas de proposer un salaire attrayant. Pour fidéliser les employés, il faut « miser sur la flexibilité, la responsabilisation et la célébration de la diversité ». Des mots comme “coaching”, “mentoring” et “formation” ont résonné dans la salle. La valeur d’un employé va bien au-delà de son bulletin de paie ont il tenue à rappeler lors de cet échange.

Le deuxième panel, animé par des experts comme Monsieur Wally DIOP, a exploré les spécificités et contraintes de la gestion des ressources humaines à l’échelle internationale. Ils ont souligné l’importance d’être à l’aise avec les outils digitaux, de comprendre les dynamiques culturelles et d’adopter une approche stratégique et moderne dans le recrutement et l’adaptation des talents. La discussion a également mis en lumière la nécessité d’une stratégie efficace d’offboarding pour assurer une transition fluide des employés.

L’accent a été mis sur l’ouverture d’esprit, la capacité à anticiper les changements et à naviguer dans le monde numérique avec aisance.

Enfin, le troisième panel a examiné l’impact du coaching en entreprise et de la formation continue sur le développement professionnel et personnel des individus. Les intervenants ont souligné l’importance d’investir dans le développement des compétences et de créer une culture d’apprentissage continu. Ils ont mis en avant les avantages pour les dirigeants et les responsables des ressources humaines de faire appel à des coaches et de miser sur la formation pour stimuler la croissance organisationnelle.

À travers des témoignages, les intervenants ont montré comment le coaching peut véritablement transformer les individus, en les aidant à découvrir leur plein potentiel. Dans les échanges, il a égalée été évoqué le pouvoir du questionnement, le rôle crucial des mentors et l’importance de la formation pour rester compétitif dans un monde en constante évolution. La conclusion était claire : les dirigeants et les responsables des ressources humaines ont tout intérêt à investir dans le développement de leurs équipes pour assurer la croissance de leur organisation.

Le mot de la fin était « liberté », donner la liberté à chacun de s’épanouir dans son domaine d’activité selon ses aspirations .

D’autres problématiques ont également été abordées notamment : la conduite du changement, le dialogue social dans l’entreprise, l’épargne salariale et la retraite, la digitalisation de la fonction ressources humaines et les spécificités de la fonction RH en Afrique.

Le Forum Africa DRH 2024 a pointé du doigt l’importance de repenser les pratiques de gestion des ressources humaines pour faire face aux défis contemporains. En adoptant une approche innovante, axée sur la flexibilité, la responsabilisation et le développement des talents, les organisations seront plus à même de « véritablement prospérer dans un environnement en constante évolution ».

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L’Afrique réinvente son capital humain grâce aux softs skills https://loeilducontinent.com/lafrique-reinvente-son-capital-humain-grace-aux-softs-skills/ https://loeilducontinent.com/lafrique-reinvente-son-capital-humain-grace-aux-softs-skills/#respond Tue, 30 Jan 2024 12:27:14 +0000 https://loeilducontinent.com/?p=4081 Tenue à Dakar, le 29 janvier 2024 – Au CICAD, à Diamniadio, le 1er Forum Africain sur les Soft Skills a mis en lumière leur impact sur la performance et la croissance des entreprises. Doxaliin Africa a orchestré avec succès ce 1er Forum Africain dédié aux Soft Skills, soulignant ainsi l’importance cruciale de ces compétences […]

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Tenue à Dakar, le 29 janvier 2024 – Au CICAD, à Diamniadio, le 1er Forum Africain sur les Soft Skills a mis en lumière leur impact sur la performance et la croissance des entreprises.

Doxaliin Africa a orchestré avec succès ce 1er Forum Africain dédié aux Soft Skills, soulignant ainsi l’importance cruciale de ces compétences comportementales et relationnelles dans le monde des affaires.

Le Forum a été marqué par deux panels significatifs. Le premier, “Soft Skills : Levier de transformation des entreprises”, animé par Monsieur El Hadj Fall, Monsieur Moussa Ka et Madame Amy Sarr Fall, Directrice de publication de Intelligence Magazine a mis en avant l’influence majeure de ces compétences dans le processus de transformation des entreprises. Le deuxième panel, “Les Soft Skills et les Ressources Humaines”, animé par Madame Haby Fatima Diallo, Directrice du capital humain de la LONASE, Madame Céline Thiam, DRH Groupe chez Umo Intérim, et Madame Anta Lo Sow, experte RH et Directrice Générale de Plasma Conseil, a exploré le rôle crucial des Soft Skills dans la gestion des ressources humaines.

Les compétences douces, telles que l’adaptabilité, l’intelligence émotionnelle, la proactivité, l’écoute active, les compétences interpersonnelles, la curiosité, la flexibilité et l’abnégation, ont été au cœur des débats. Ces compétences, souvent sous-estimées, émergent comme des moteurs essentiels de la performance en entreprise, favorisant l’innovation et la collaboration.

À l’ère du numérique et de l’intelligence artificielle, les compétences humaines en savoir-être deviennent primordiales. La capacité de savoir écouter, parler, des compétences interpersonnelles, une formation continue, la prise de parole en public et l’empathie sont désormais des atouts cruciaux, plaçant l’humain au cœur des actions et des décisions, comme l’a souligné madame Amy Sarr Fall, Directrice de publication de Intelligence Magazine.

L’équilibre émotionnel au sein d’une organisation, soulignant des valeurs telles que l’intelligence collective, le courage, la flexibilité, et surtout la résilience, a été identifié comme un résultat direct du développement des Soft Skills.

En conclusion, le Forum Africain sur les Soft Skills a mis en lumière l’impact significatif de ces compétences sur la performance globale des entreprises, soulignant la nécessité croissante de les intégrer stratégiquement dans le développement professionnel et la croissance organisationnelle.

Deux master classes, l’une sur l’intelligence collective animée par monsieur Aliou Badara Komé, expert international en intelligence collective et l’autre sur l’intelligence émotionnelle animée par madame Khadijatou Cissé SECK coach professionnel et fondatrice de Wewaxtaan, ont également enrichi le débat. Ces compétences incontournables, déterminent souvent notre comportement face au monde et à l’adversité de la vie. La question se pose : construirons-nous des ponts avec les pierres sur notre parcours pour avancer et nous reconstruire, ou érigerons-nous des murs nous empêchant tout mouvement ? La réponse repose fortement sur nos compétences personnelles.

Qui est derrière ce forum ?

Doxaliin Africa : Pionnier des Soft Skills sur le Continent

Doxaliin Africa s’est imposée comme la première plateforme africaine dédiée aux compétences comportementales et relationnelles, communément appelées Soft Skills.

La plateforme a été fondé par deux entrepreneurs passionnés, monsieur Bocar Laurant SY et monsieur Kalidou Abdallah SY. Ils ont uni leurs expertises pour répondre à un besoin croissant dans le monde professionnel africain.

L’objectif central de Doxaliin Africa est de « catalyser le développement personnel et professionnel en mettant en avant les compétences douces, souvent négligées ». La plateforme vise à éduquer, former et connecter les individus, les entreprises et les institutions éducatives à travers le continent africain, favorisant ainsi l’émergence d’une main-d’œuvre dotée de compétences diversifiées et essentielles.

Doxaliin Africa vise à combler le fossé entre les compétences techniques acquises dans le cadre d’une formation classique et les compétences comportementales nécessaires pour exceller dans un environnement professionnel en constante évolution. En fournissant des ressources éducatives, des événements tels que ce Forum Africain sur les Soft Skills, et en encourageant le dialogue sur l’importance des Soft Skills. La plateforme aspire à façonner une nouvelle génération de professionnels compétents et équilibrés.

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SALON DE L’ENTREPRENEURIAT FEMININ DE DAKAR https://loeilducontinent.com/salon-de-lentrepreneuriat-feminin-de-dakar/ https://loeilducontinent.com/salon-de-lentrepreneuriat-feminin-de-dakar/#respond Wed, 16 Aug 2023 11:03:14 +0000 https://loeilducontinent.com/?p=3974 Dakar a déroulé, le week – end dernier, le salon de l’entrepreneuriat féminin de Dakar sous le thème : «l’Entrepreneuriat Féminin: Freins, Atouts et Opportunités». Ce Salon qui en est à sa deuxième édition a été organisé par Gl’amour by Lyssa & Co en partenariat avec l’Adepme, Eyfel/Sénégal et M.W.W.B. La rencontre aura permis aux […]

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Dakar a déroulé, le week – end dernier, le salon de l’entrepreneuriat féminin de Dakar sous le thème : «l’Entrepreneuriat Féminin: Freins, Atouts et Opportunités». Ce Salon qui en est à sa deuxième édition a été organisé par Gl’amour by Lyssa & Co en partenariat avec l’Adepme, Eyfel/Sénégal et M.W.W.B. La rencontre aura permis aux cheffes d’entreprises de découvrir le marché, de nouer des partenariats afin d’écouler leurs stocks et de perfectionner leur méthode de travail.

Durant deux jours, les samedi 12 et dimanche 13, les femmes entrepreneures de Dakar ont rivalisé d’ardeur. En sus des expositions de leurs produits, les femmes entrepreneures de Dakar ont eu droit à des panels, des ateliers … de renforcement de capacités dans les domaines du réseautage et de la labellisation de leurs produits. Du cosmétique, à la nutrition en passant par la diététique, le textile, l’industrielle, les femmes entrepreneures de Dakar ont manifesté et exposé leur potentiel. Salimata Thiam Diagne fondatrice et organisatrice du Salon de l’entreprenariat féminin de Dakar, Mme Salimata Thiam Diagne n’a pas manqué d’exposer les difficultés auxquelles les femmes entrepreneurs sont confrontées. «L’entreprenariat féminin rencontre beaucoup d’obstacles. C’est la raison de la tenue de ce salon qui permettra aux femmes de se rencontrer, de se former par le biais des ateliers, des panels. L’année dernière, nous n’avons pas eu ce beau monde. La tenue de cette deuxième édition est une réussite. Les responsables du ministère de la Femme, le Fondem, l’Adpme… qui ont pris part à la rencontre ont entendu notre cri de cœur. Nous avons espoir que toutes nos demandes et exigences seront satisfaites. Le but recherché dans cette deuxième édition, c’est de promouvoir l’entreprenariat féminin en exposant des modèles de réussite de femmes pour pouvoir inspirer les autres qui avaient peur de se lancer. Avec les panels qui se sont tenus, les ateliers de l’Adpme des solutions seront trouvés pour solutionner certains problèmes. «Le réseautage est d’actualité parce qu’une rencontre favorise de nouveaux partenariats et des échanges. La femme Sénégalaise a toujours été innovante. Elles ont juste besoin d’accompagnement pour aller loin et devenir des leaders», explique Mme Diagne.

«Mettre les femmes entrepreneures au meilleur de leur forme»

Mme Bâ Directrice des organisations féminines et de l’entreprenariat féminin au niveau du ministère de la femme et de la protection des enfants, Mme Bâ qui a pris part à la cérémonie d’ouverture n’y est allé par quatre chemins. «Notre mission essentielle est d’aider les femmes entrepreneures et celles qui veulent l’être à créer, développer et gérer leurs entreprises. Mme Salima Thiam Diagne qui en est à sa deuxième édition est une femmes très entreprenante Je l’encourage et je lui demande d’aller de l’avant». «En Afrique, poursuit -elle, «on a beaucoup de femmes entrepreneures mais le souci que nous avons c’est que les conditions ne sont pas réunies pour les mettre dans les meilleures formes. En général, leurs entreprises ne sont pas formalisées, leurs produits n’est pas labélisés. Elles manquent de formation et de financement. Cela continue un gros frein. C’est pour cela que nous formulons des recommandations et leur invitons à mettre les pieds à l’étrier. Nous leur demandons de venir bénéficier des mécanismes mis en place par l’Etat. Ce qui est dramatique chez les femmes, c’est qu’elles ne vont jamais vers l’information. Elles attendent que l’information vienne en elles. Il y a le problème de la labellisation qui se pose parce que certaines femmes ne maîtrisent pas les techniques de fabrication aux normes internationales. Le marché n’est pas fermé. Il suffit d’être patiente et s’atteler à ça. Dans le domaine céréalier, les femmes ne sortent pas de leurs communes, de leurs départements ou de leur région. «Quand vous allez dans certains pays, vous trouvez des produits Sénégalais mais labélisés par une tierce personne qui est venue les acheter ici au Sénégalais mais s’est donné le temps de les labellisés. Pourquoi les femmes entrepreneures Sénégalaises ne peuvent pas faire ça. Le ministère de la Femme et les ministères sectoriels sont à la portée des femmes entrepreneures dans les domaines de la formation, la labélisation, le code barre… Tout est à leur portée. Ces panels initiés par Mme Diagne sont une excellente initiative qui va permettre aux femmes entrepreneures qui manquent de connaissance de se renforcer», explique la Directrice des organisations féminines et de l’entreprenariat féminin.SALON DE L’ENTREPRENEURIAT FEMININ DE DAKAR est apparu en premier sur L'oeil du continent.

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Forum ‘’Invest in Sénégal’’ : Tiémoko Meyliet Koné encourage les partenariats entre investisseurs sénégalais et ivoiriens https://loeilducontinent.com/forum-invest-in-senegal-tiemoko-meyliet-kone-encourage-les-partenariats-entre-investisseurs-senegalais-et-ivoiriens/ https://loeilducontinent.com/forum-invest-in-senegal-tiemoko-meyliet-kone-encourage-les-partenariats-entre-investisseurs-senegalais-et-ivoiriens/#respond Thu, 06 Jul 2023 20:39:45 +0000 https://loeilducontinent.com/?p=3893 Le vice-président de la Côte d’Ivoire, Tiémoko Meyliet Koné, a encouragé les partenariats entre les investisseurs sénégalais et ivoiriens, à l’ouverture du forum ‘’Invest in Sénégal’’, jeudi, à Diamniadio, près de Dakar. ‘’J’encourage les acteurs économiques sénégalais et ivoiriens à nouer des partenariats fructueux dans des investissements soutenus par les capitaux privés des deux pays’’, […]

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Le vice-président de la Côte d’Ivoire, Tiémoko Meyliet Koné, a encouragé les partenariats entre les investisseurs sénégalais et ivoiriens, à l’ouverture du forum ‘’Invest in Sénégal’’, jeudi, à Diamniadio, près de Dakar.

‘’J’encourage les acteurs économiques sénégalais et ivoiriens à nouer des partenariats fructueux dans des investissements soutenus par les capitaux privés des deux pays’’, a-t-il dit en présence d’hommes d’affaires de son pays et du Sénégal, rapporte l’Agence de presse sénégalaise.

La Côte d’Ivoire est le pays invité d’honneur du forum ‘’Invest in Sénégal’’, qu’organise l’APIX, l’agence gouvernementale chargée de la promotion des investissements et des grands travaux de l’Etat du Sénégal.

Le forum se tient au centre international des conférences Abdou-Diouf de Diamniadio et se poursuivra jusqu’à samedi.

La ‘’complémentarité’’ des économies du Sénégal et de la Côte d’Ivoire offre des opportunités mutuellement bénéfiques pour les deux pays, selon Tiémoko Meyliet Koné.

Il invite et encourage les investisseurs présents au forum à saisir ces opportunités et à coopérer dans divers domaines, dont l’exploitation des matières premières.

Le vice-président de la Côte d’Ivoire et ancien gouverneur de la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest salue aussi l’organisation du forum ‘’Invest in Sénégal’’.

‘’Ce forum se propose de mettre en exergue une économie sénégalaise moderne, dynamique et en pleine expansion malgré les effets du changement climatique, de l’insécurité dans le Sahel et de l’inflation généralisée liée aux retombées négatives de la guerre en Ukraine’’, a souligné le banquier et homme d’Etat ivoirien.

Par l’organisation de cette rencontre internationale dédiée aux investissements, le Sénégal  montre qu’il demeure un marché attractif pour tous les entrepreneurs et une porte d’entrée vers les autres marchés financiers, a-t-il dit.

‘’J’encourage tous les investisseurs à saisir les opportunités de ce forum pour nouer des relations fructueuses, sceller des partenariats durables et œuvrer main dans la main pour le développement économique de nos nations’’, a poursuivi M. Koné.

Il s’est réjoui de la place ‘’importante qu’occupent la Côte d’Ivoire et le Sénégal parmi les économies les plus dynamiques d’Afrique, grâce à des politiques vigoureuses et à des réformes ambitieuses’’.

‘’Nos deux pays enregistrent une croissance soutenue et diversifiée. Ces performances économiques font d’eux les moteurs économiques de l’UEMAO, avec une contribution combinée d’environ 60 % du produit intérieur brut’’ de l’ensemble des huit Etats membres de l’Union économique et monétaire ouest-africaine, a dit le banquier.

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Niger: Mahamadou Issoufou, heureux récipiendaire du Prix Mo Ibrahim https://loeilducontinent.com/niger-mahamadou-issoufou-heureux-recipiendaire-du-prix-mo-ibrahim/ https://loeilducontinent.com/niger-mahamadou-issoufou-heureux-recipiendaire-du-prix-mo-ibrahim/#respond Sun, 21 May 2023 13:36:01 +0000 https://loeilducontinent.com/?p=3520 Lauréat du Prix Mo Ibrahim pour la gouvernance, décerné il y a deux semaines à Nairobi lors du Mo Ibrahim Forum couvert par Financialafrik, le nigérien Mahamadou Issoufou a été fêté le 19 mai à Niamey dans une salle archicomble  en présence de son successeur, Mohamed Bazoum et d’influentes personnalités du landerneau politico-économique local. Ce prix […]

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Lauréat du Prix Mo Ibrahim pour la gouvernance, décerné il y a deux semaines à Nairobi lors du Mo Ibrahim Forum couvert par Financialafrik, le nigérien Mahamadou Issoufou a été fêté le 19 mai à Niamey dans une salle archicomble  en présence de son successeur, Mohamed Bazoum et d’influentes personnalités du landerneau politico-économique local. Ce prix de 5 millions de dollars versé sur dix ans est décerné aux chefs d’Etat qui quittent le pouvoir de manière démocratique.

Les illustres lauréats sont Joachim Chissano, ancien président du Mozambique, récipiendaire de l’édition 2007, suivi du Botswanais Festus Mogae en 2008, Pedro Pires du Cap-Vert en 2011, le président Hifikepunye Pohamba de Namibie (2014), la la présidente Ellen Johnson Sirleaf du Libéria (2017)  et Mahamadou Issoufou en 2021 avec remise du trophée en 2023.

Le Prix Mo Ibrahim sert de valeur pédagogique dans un continent où encore les enjeux de conquête et de conservation du pouvoir l’emportent sur les enjeux du développement.

L’on se rappelle, après deux quinquennats (2011-2020) à la tête du Niger, le président Issoufou avait décidé de ne pas être candidat à un troisième mandat lors des élections présidentielles de décembre 2020, conformément à la constitution du Niger.

Sous son magistère, le PIB du Niger est passé de 7,9 milliards de dollars US en 2010, année de la junte militaire, à 12,9 milliards de dollars US en 2019, soit une augmentation de +64,3 % (5,1 milliards de dollars US). Sur cette période de dix ans, le pays a enregistré des taux de croissance du PIB positifs, allant de +2,4 % en 2011 à +10,5 % en 2012. Le taux de croissance du PIB pour 2019 était de +5,9 %.

Cependant, le Niger a également connu le troisième taux de croissance démographique le plus élevé au monde pour la période 2015-2020 (+3,8 %) et, entre 2010 et 2019, la population du pays a augmenté de 6,8 millions d’habitants (soit l’équivalent de la population actuelle de la Libye).

À titre de comparaison, le PIB du continent africain a augmenté de +21,9 % au cours des dix dernières années, pour un taux de croissance démographique de +2,5 %, sur la période 2015-2020.

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Relance en Afrique : la coopération japonaise prête à donner le top départ https://loeilducontinent.com/relance-en-afrique-la-cooperation-japonaise-prete-a-donner-le-top-depart/ https://loeilducontinent.com/relance-en-afrique-la-cooperation-japonaise-prete-a-donner-le-top-depart/#respond Sun, 27 Nov 2022 18:10:48 +0000 https://loeilducontinent.com/?p=1680 “ L’intégration régionale est essentielle à la résilience future du continent “, a déclaré Toshiyuki Nakamura, vice-président principal de la JICA, lors d’un congrès de haut niveau organisé à Johannesburg le 21 juin. Des intervenants de la JICA, de l’Agence de développement de l’Union africaine (AUDA-NEPAD), du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) et de […]

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 L’intégration régionale est essentielle à la résilience future du continent “, a déclaré Toshiyuki Nakamura, vice-président principal de la JICA, lors d’un congrès de haut niveau organisé à Johannesburg le 21 juin. Des intervenants de la JICA, de l’Agence de développement de l’Union africaine (AUDA-NEPAD), du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) et de la Banque africaine de développement (BAD) ont débattu de la manière de relancer l’intégration économique sur le continent après la pandémie, qui a interrompu les ambitions de développement des nations africaines.

Ce congrès s’inscrivait dans le cadre de la préparation de la 8e Conférence internationale de Tokyo sur le développement de l’Afrique (TICAD 8), qui se tiendra ces 27 et 28 août. Créée en 1993, la TICAD est l’initiative phare du Japon pour soutenir la croissance en Afrique. Organisé en partenariat avec la Commission de l’Union africaine, les Nations Unies, le PNUD et la Banque mondiale, ce forum public rassemblera les pays africains, les organisations internationales, les entreprises privées et la société civile pour le développement de l’Afrique.

La coopération menée par le Japon, telle que présentée par la JICA lors de la conférence, vise à accélérer la relance de l’Afrique grâce au développement des infrastructures et aux réformes politiques, afin d’atteindre les objectifs définis dans l’Agenda 2063 de l’Union africaine. Dans son discours d’ouverture, Norio Maruyama, ambassadeur du Japon en Afrique du Sud, a insisté sur les deux piliers de l’investissement japonais en Afrique : ” Appropriation et partenariat”. Selon Toshiyuki Nakamura, c’est le fait d’être passé de l’aide à la propriété et au partenariat, qui a permis au continent de devenir attractif pour les marchés, notamment en invitant les capitaux privés et publics.

L’Afrique, poids lourd du libre-échange en devenir

Le congrès a abordé la mise en oeuvre de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf), entrée en vigueur en mai 2019, qui devrait remodeler le commerce international. Cet accord, qui  couvre la plupart des pays de l’Union africaine (UA), relie 1,3 milliard de personnes et a le potentiel de sortir 30 millions de personnes de l’extrême pauvreté, selon la Banque mondiale.

 Dans le monde de l’après-crise, l’Afrique doit avoir sa place à la table “, a déclaré George Kararach, économiste en chef à la Banque africaine de développement (BAD). Ayodele Odusola, directeur de l’équipe stratégie et analyse du bureau régional du PNUD pour l’Afrique, a abondé dans le même sens en affirmant qu’il était temps pour l’Afrique de repenser le commerce : ” Les pays africains ne consomment pas ce qu’ils produisent et ils ne produisent pas ce qu’ils consomment. Nous devons vraiment réfléchir à tout cela. 

La ZLECAf sera la plus grande zone de libre-échange du monde en termes de nombre de pays membres. Sa réalisation présentera des projets d’infrastructure de plusieurs millions de dollars et des accords multilatéraux.

Son succès dépendra de la résilience des institutions et des politiques, a déclaré Ayodele Odusola. Toshiyuki Nakamura s’est fait l’écho de ce point de vue, notant que le chemin à parcourir devra présenter “l’accroissement de la productivité et l’amélioration de l’environnement commercial afin d’attirer les investissements.” Les intervenants ont également souligné l’importance fondamentale d’investir dans des infrastructures de qualité, un domaine dans lequel la JICA apporte un soutien actif sur le continent, dans le cadre du Programme de développement des infrastructures en Afrique (PDIA), et de renforcer les startups et les petites entreprises.

Rationalisation des procédures douanières – une clé pour la prospérité de l’Afrique

Les postes frontaliers à guichet unique (OSBP) sont au coeur de la facilitation du commerce. Ils réduisent le temps et le coût de la circulation des personnes et des marchandises à travers les frontières en plaçant les procédures douanières sous un même toit. Près de 120 postes de ce type sont en service en Afrique, dont 14 bénéficient du soutien de la JICA.

Lors du congrès du 21 juin, l’AUDA-NEPAD a lancé la troisième édition du guide de référence de l’OSBP. Ce guide opérationnel pour les OSBP, produit conjointement par la JICA et l’AUDA-NEPAD, est devenu une ressource inestimable pour la promotion du libre-échange en Afrique.

 La troisième édition arrive à un moment important pour nous “, a déclaré Towela Nyirenda Jere, chef de la division de l’intégration économique à l’AUDA-NEPAD. “ Nous n’avons pas encore tiré pleinement parti des économies d’échelle comparé à ce qu’une plus grande intégration des marchés peut normalement offrir. Dans ce contexte, les OSBP sont essentiels pour renforcer l’interconnectivité et approfondir l’intégration des marchés régionaux. 

TICAD 8 – une approche intégrée pour résoudre les défis de l’Afrique

Au cours de la TICAD 8 ce mois d’août, les parties prenantes publiques et privées se pencheront sur la récession sans précédent de l’économie africaine résultant de la Covid-19 et de l’instabilité financière mondiale. Etant un continent en développement, l’Afrique est particulièrement vulnérable aux fluctuations financières des marchés étrangers, aux crises géopolitiques et sanitaires.

Depuis sa création, la TICAD souligne l’importance de l’appropriation par l’Afrique dans le processus de développement et encourage les efforts concertés pour atteindre les objectifs de l’Agenda 2063, soit le plan de l’Union africaine “pour parvenir à un développement socioéconomique inclusif et durable”.

” Lorsque nous parlons d’intégration économique, nous devons également prendre en compte la santé, l’éducation, les réseaux sociaux et d’autres facteurs. Nous avons besoin d’une approche intégrée. C’est le concept de base de la TICAD ” a expliqué Toshiyuki Nakamura.

Au fil des ans, la JICA a contribué à l’économie, à la société, à la paix et à la stabilité du continent. Ses bureaux, qui se trouvent dans 31 pays africains, s’efforcent de diversifier les industries, de créer des emplois et de promouvoir l’innovation et les investissements. Parmi les réalisations phares de la JICA figure le développement de corridors qui ont contribué à une croissance économique robuste et inclusive dans des régions ciblées en Afrique du Nord, de l’Ouest et du Sud-Est en combinant efficacement le développement infrastructurel, institutionnel, industriel et social dans le cadre d’un plan à long terme.

Dans toutes ces activités, l’approche de la JICA a toujours été centrée sur l’autonomisation des populations africaines pour qu’elles prennent en charge leur propre avenir. La TICAD 8 offrira la possibilité non seulement de renforcer le partenariat de la communauté internationale avec l’Afrique, mais aussi de renforcer le rôle et l’influence de l’Afrique dans le monde.

 La TICAD nous a vraiment donné une opportunité “, a déclaré Ayodele Odusola. “ C’est l’un des rares partenariats gagnant-gagnant sur le continent “.

Relance en Afrique : la coopération japonaise prête à donner le top départ.
Avec rfi.fr

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Le Mali lance l’opération séduction à l’Expo universelle https://loeilducontinent.com/le-mali-lance-loperation-seduction-a-lexpo-universelle/ https://loeilducontinent.com/le-mali-lance-loperation-seduction-a-lexpo-universelle/#respond Thu, 18 Aug 2022 15:25:38 +0000 https://oeilducontinent.info/privat/?p=371 (Correspondance)- C’est parti depuis le 1er octobre dernier, pour six mois d’exposition universelle avec plus de 190 pays. Axée autour du thème : «Connecter les esprits, construire le futur», l’Expo Dubaï 2020 a officiellement ouvert ses portes le vendredi 1er octobre 2021. Evénement majeur pour les Emirats Arabes Unis, cette exposition est la première activité […]

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(Correspondance)- C’est parti depuis le 1er octobre dernier, pour six mois d’exposition universelle avec plus de 190 pays. Axée autour du thème : «Connecter les esprits, construire le futur», l’Expo Dubaï 2020 a officiellement ouvert ses portes le vendredi 1er octobre 2021. Evénement majeur pour les Emirats Arabes Unis, cette exposition est la première activité universelle à être organisée au Moyen Orient, après avoir été reportée d’une année à cause de la pandemie à Covid-19. L’accès aux lieux de l’exposition universelle est conditionné à la présentation d’un test PCR négatif de moins de 72 heures. Ces mesures preventives entrent dans le cadre de la lutte contre la propagation de la Covid-19. Comme plus de 40 autres pays africains, le Mali n’est pas resté en marge de ce grand rendez- vous ; même si, le pays participe pour la première fois à cet évènement planétaire.

A l’image des autres pays africains participants, le Mali va exposer ses réalisations ainsi que les opportunités dont il regorge pour séduire les investisseurs internationaux. Le pavillon du Mali appelé : “Bènso Jatigiya” (point de rencontre), en référence à la chaleur et à l’hospitalité du peuple malien, a été entièrement construit grâce au soutien financier des Emirats Arabes Unis. Erigé dans le district Opportunité, le pavillon du Mali est dirigé par Nakhana Diakité-Prats. Les thématiques exposées retracent l’histoire du pays, ses traditions ancestrales et surtout le potentiel de développement économique dont le pays dispose et propose à la coopération internationale.

Dans un entretien à Sputnik, Nakhana Diakité Prats, directrice du pavillon du Mali, est revenue sur les différentes thématiques regroupant le savoir-faire du Mali à cette exposition universelle. «La participation du Mali a pour but de donner une image du pays reliant son histoire, son présent et son futur à travers tous les éléments présentés», soutient-elle. L’objectif recherché est d’ouvrir les portes du pays à la coopération internationale.

Organisée tous les quatre ans, cette Expo Dubaï 2020 intervient comme une opportunité pour les pays africains. Car, elle peut leur permettre de trouver de nouveaux marchés, de rechercher des investissements et de nouer de nouveaux partenariats.

«Nous devons saisir cette opportunité unique de bénéficier de l’accompagnement du gouvernement des Emirats Arabes Unis et des milieux des affaires de Dubaï pour nouer des partenariats de qualité afin de relancer notre économie en général et le secteur privé national en particulier», a exhorté le ministre de l’Industrie et du Commerce, Mahmoud Ould Mohamed.

Une ville entière a été créée pour accueillir les installations de l’Expo universelle de Dubaï. Culture et spectacles, architecture, gastronomie, évènements, pavillon sont autant d’aspects qui sont au rendez- vous de l’Expo Dubaï 2020.

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