Le PDG du Consortium international des Travaux publics assure qu’il n’a «aucun lien, ni direct ni indirect, avec le contrat évoqué». Dans un communiqué, ses avocats dénoncent une homonymie de nom qui a abouti à cette confusion.
Après une confusion provoquée par une «homonymie» à l’orthographe, qui a récemment entraîné une association erronée de Seydou KANE, entrepreneur africain établi au Gabon, à l’affaire de sous-traitance liée au contrat entre l’Agence sénégalaise d’électrification rurale (ASER) et la société AEE Power EPC, le fondateur et Président directeur général du Consortium international des Travaux publics (CITP) dément formellement. Dans un communiqué transmis à la presse, M. Seydou KANE a formellement levé toute équivoque en démentant toute implication dans cette affaire. Selon M. Kane, il n’a «aucun lien, ni direct ni indirect, avec le contrat évoqué dans ce dossier». Dans son communiqué, il précise qu’il n’a jamais été en relation avec l’ASER, ni avec ses partenaires ou sous-traitants. D’après les avocats de l’homme d’affaires, «la confusion découle d’une homonymie avec un certain Saidou KANE, ressortissant sénégalais résidant en Espagne, qui serait le véritable individu mentionné dans le cadre du marché de sous-traitance ». Or des articles de presse et des publications sur les réseaux sociaux auraient, depuis plusieurs mois, relayé des informations suggérant que M. KANE, basé au Gabon, est l’attributaire du marché en question et qu’il aurait bénéficié d’un traitement de faveur dans le cadre de ce projet d’électrification rurale. Par conséquent, M. dénonce une confusion « regrettable et condamnable », susceptible de porter atteinte à son image.
Pour le PDG du Consortium international des Travaux publics, la persistance de cette confusion pourrait constituer une «volonté manifeste de nuire à sa réputation». Pour mettre fin à cette confusion, il «se dit dès lors prêt à engager des poursuites judiciaires ou administratives à l’encontre de toute personne ou entité qui continuerait à l’associer à cette affaire». Car, il reste attaché «aux principes de vérité, d’intégrité professionnelle et de respect de l’honneur ».
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